parution 20 avril 2017  éditeur Hoebecke  Public adulte  Mots clés Erotique / Mariage

Le Kama sutra après le mariage

Un chapitre perdu (et pour cause) du fameux Kama Sutra, revisité n’importe comment. A offrir pour rompre.


Le Kama sutra après le mariage, bd chez Hoebecke de Katz, Rich
  • Notre note Grey Star Grey Star Grey Star Grey Star

    CHEF D'ŒUVRE   Green Star Green Star Green Star Green Star

    TRÈS BON   Green Star Green Star Green Star Dark Star

    BON   Green Star Green Star Dark Star Dark Star

    BOF. MOYEN   Green Star Dark Star Dark Star Dark Star

    BIDE   Dark Star Dark Star Dark Star Dark Star

  • Scénario Grey Star Grey Star Grey Star Grey Star

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  • dessin Yellow Star Grey Star Grey Star Grey Star

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    BIDE   Dark Star Dark Star Dark Star Dark Star

©Hoebecke édition 2017

L'histoire :

Lorsque l’homme remplit le lave-vaisselle et que la femme doit passer derrière lui parce qu’il s’y est mal pris, cela s’appelle « faire un plat ». Lorsque la femme balaie près des pieds de l’homme pour lui suggérer de l’aider, cela s’appelle une « scène de ménage ». Lorsque l’homme ronfle tous les soirs parce qu’il refuse de se faire opérer ou d’essayer un masque et que la femme n’a d’autre choix que de secouer son corps inerte avec l’espoir que ses ronflements s’arrêteront, cela s’appelle « la ruade du phacochère ».

Ce qu'on en pense sur la planète BD :

Comment décrire l’expérience de lecture du Kama Sutra après le mariage ? Le temps manque pour faire le tour de tous les mots. Ceux-là suffiront : affligeant, nul, pitoyable, phallocrate, lamentable et pas drôle. C’est d’autant plus honteux que la présentation est réussie, de belle facture, avec une reliure haut de gamme. Seul point positif, donc, de cet album, qui a quand même coûté la vie à quelques arbres. Il eut fallu épargner la planète de cette horreur. Les vannes sont nulles, les phrases n’en finissent pas et le dessin n’a strictement aucun intérêt dans ce contexte. Il n’y a aucun rapport avec les visuels hindous et le ton employé au long d’un album qui n’ose pas dire son nombre de pages tellement c’est une arnaque. 382 grammes qui prouvent qu’à l’ère de la consommation tout azimut, les escrocs ont de beaux jours devant eux. Farley Cat’z, illustrateur au New Yorker, et Simon Rich, soi-disant nouveau prodige de la littérature américaine, ne démentiront pas ! Il vaut mieux s’arrêter là, sous peine de passer plus de temps sur la chronique que sur l’élaboration du scénario.

voir la fiche officielle ISBN 9782842305796