L'histoire :
Episode 1: Une porte s'ouvre…et se referme ! :Toute la famille Duck se retrouve réunie autour d'un pique-nique à la campagne. Chacun se demande ce qu'il fait là, à part Donald qui a organisé la journée. Soudain, un phénomène étrange se déroule à côté d'eux : une porte de feu apparaît, de laquelle surgit deux hommes. Ils semblent venir d'une autre dimension et viennent d'échapper aux flammes d'un incendie…
Episode 2 : Esclave des Morgs : Riri, Fifi et Loulou réalisent qu'ils sont esclaves des Morgs et qu'ils doivent obéir à leur maître Clarg. Ils doivent travailler toute la journée comme des forçats et donner à manger aux dragons des Morgs. Fifi remarque un jeune garçon qui ne semble pas être esclave mais qui se déplace en grimpant après les murs. Il décide de le suivre…
Episode 3 : Un nouvel allié : Juste, le jeune garçon, sympathise avec Riri, Fifi et Loulou. Il leur explique les sabotages qu'il pratique envers les Morgs. Ils apprennent aussi que beaucoup de galeries et autres passages secrets parsèment la ville et que Juste les utilise pour faire ses blagues. Pendant ce temps, Picsou et Donald sont retenus prisonniers dans la forteresse de Lord Moraq...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Cette nouvelle aventure éditée par Glénat et mettant en scène Picsou, Donald et ses neveux, prend la forme d'une grande saga découpée en 12 épisodes. L'action se déroule dans une autre dimension, médiévale-fantastique, peuplée de dragons et de méchants Morgs. En effet, ce peuple cruel et belliqueux a mis en esclavage les hommes. Tous ensemble, ils vont devoir lutter et aider Brendon, le chef des hommes, à combattre les Morgs. Pleine de rebondissements, cette aventure est parsemée de scènes plus épiques les unes que les autres, notamment aériennes, par l'entremise des dragons. Futés comme toujours, les neveux Riri, Fifi et Loulou jouent un rôle important dans le dénouement de la problématique. Le dessin est assez fidèle à la ligne graphique étalon de Carl Barks. Moult détails et personnages enrichissent l'aventure, pour former un livre aussi épais que réussi. Un format à l'italienne permet de mieux apprécier cet album de 168 pages, qui plaira aux fans du genre avant tout...