L'histoire :
Vanessa la blondasse est toujours là. Avec ses copines (blondes), elles ne ratent jamais une occasion de rappeler leur couleur de cheveux. Les voilà dans un magasin de pêche pour acheter une canne et c’est parti pour la pêche à la mouche. Le retour au magasin se fait illico presto vu qu’elles se sont empêtrées dans le fil. Le vendeur ne comprend pas ce qui s’est passé : Vanessa lui explique que ce n’est pas si facile que ça d’attraper une mouche avec une canne (rires). Donnez un chien à une blonde et elle vous l’envoie de ce pas chez le véto. Il suffit qu’elle soit un peu pressée pour rouler sur le chien une première fois, puis reculer à nouveau dessus pour voir sur quoi elle a roulé (haha). Quand Vanessa va à la laverie, elle n’oublie jamais sa lingette antidécoloration. Après, elle se régale à regarder tourner le linge, c’est mieux que la télé dit-elle. Enfin, elle n’oublie pas de se déshabiller à la fin de la lessive. Car oui, elle suit les instructions à la lettre : « à l’arrêt de la machine, pensez à retirer tous vos vêtements » (huhu). Anne, la copine de Vanessa, ne supporte pas l’eau pétillante. Du coup, Vanessa passe sa journée dans la cuisine à casser des bouteilles d’eau pour la rendre plate (hoho)…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Gaby et Dzack se surpassent en termes de délais sur leurs albums des blondes. En effet, un album tout les 5 mois, voilà un beau rendement. La quantité c’est bien, surtout quand la série fait un carton commercial ( !?)… mais avec la qualité, ce serait encore mieux. Or, dans ce tome 12, la qualité ils l’ont un peu oubliée… Cette fois, en termes de niaiserie, on touche plus que le fond, on creuse. On a par exemple droit au gag de la blonde et du seau sur la porte en double exemplaire (un gag pas du tout éculé). Cela dit, c’est sûrement histoire de bien faire comprendre le gag, au cas où une blonde le lirait (c’est sûr, elles forment un large public… puisqu’elles sont blondes !). Le reste demeure dans le schéma habituel, à savoir un à deux gags par planche, où les auteurs s’éclatent à faire passer les blondes pour plus tartes qu’elles ne le sont.