L'histoire :
Marcelo Fuentes est tout-puissant dans la ville de New York. Il possède toute une tripotée d'immeubles et sort l'argent d'on ne sait où. Il fait même les lois : interdiction de se droguer, de fumer ou de boire de l'alcool. Pire : le sexe est prohibée et la prostitution sévèrement réprimée. Si vous faites l'amour chez vous, vous encourez une peine de prison ! Cependant, toutes ces lois drastiques ne s'appliquent pas pour les puissants. Et surtout pas pour Fuentes. La preuve : il fait venir sa prostituée attitrée, Jenny. Il faut dire que cette plantureuse rouquine est douée et elle n'offre ses services qu'aux plus riches. Fuentes n'est pas du genre patient ni romantique : il demande directement à Jenny de le sucer. Son énorme sexe rentre dans la bouche de cette belle coquine, qui s'y prend si bien, qu'il est proche de jouir au bout de quelques minutes. Ce qu'il ignore, c'est que Jenny prépare un coup... et c'est certainement celui de tirer son coup ! Avec le majordome Alfred, elle compte le kidnapper pour se débarrasser à jamais de cette ordure. Tout commencera au moment où il sera le plus vulnérable : quand le salaud va jouir en elle !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Jamais la police ne vous aura paru aussi sympathique et attrayante. Dans ce petit album pornographique, chaque membre du district est particulièrement motivé pour... faire respecter la loi par tous les moyens possibles. Ainsi, le lieutenant Castillo ne peut s'empêcher de forniquer, les agents profitent de sauver des jolies filles pour avoir un remerciement en nature et certaines policières ont de sacrés atouts à faire valoir. Cette série, c'est la caricature des séries policières US mais avec une version X en plus : donuts, gros calibres, gros seins, petites tenues (ou pas de tenues du tout), gangsters obsédés et dangereux, policiers sauveurs, mais aussi obsédés. Ces mini histoires ne cherchent qu'une chose : le sexe avant tout et qui prend plus de la moitié de chaque saynète. Ça n'est pas de la grande histoire, à la différence de la grosseur des glands des personnages ! C'est néanmoins dans le dessin et l'ambiance qu'on prendra son pied. Le style est caricatural au possible avec des corps déformés et appétissants et une explosion charnelle qui donne presque envie de « rentrer » dans la police. Dans cette histoire de flics, les matraques sont des queues énormes et les flingues tirent une drôle de poudre blanchâtre... Police district ! Tout ce qui commence par B, on le lève en l'air !