L'histoire :
En l’absence de son mari, Scarlett a donné rendez-vous à son amant chez elle pour une longue nuit de galipettes sexuelles. Or après quelques préliminaires, et tandis qu’ils sont en pleins ébats, la porte de la chambre s’ouvre. C’est le mari qui rentre… ou plus exactement le mari transformé en zombie ! Tout vert et tout dégoulinant du sang de ses précédentes victimes, il s’attaque à l’amant en le mordant. Scarlett s’enfuit dans la rue, à poil, pour tenter d’alerter des agents de police. Or les seuls flics qu’elle trouve sont eux aussi des zombies, qui l’agressent. Ils ne mordent pas Scarlett, mais ils la violent ensemble, par tous les trous. L’un d’eux est tellement excité qu’en serrant un peu trop fort son chibre, il se l’arrache… Finalement, c’est une voiture qui renverse tout ce petit monde. La portière s’ouvre et une jeune femme en tenue légère invite Scarlett à monter, vite ! C’est sa copine Lexi, qui lui raconte à son tour comment elle a été agressée et violée chez elle par des hordes de zombies, à l’heure du petit-déjeuner en compagnie de sa belle-mère. Elle s’est aperçue alors que si sa belle-mère se transformait en zombie, elle, Lexi, semblait immunisée. Elle avait réussi à s’enfuir pour tenter de sauver Scarlett…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ouééééé, des lesbiennes plus des zombies ! Et pourquoi pas ? Après tout, ce sont deux registres d’ordinaire appréciés de la gente masculine. Certes, mais la vocation de cet album s’arrête à cette intention basique. Les registres érotiques et zombiesques s’encombrent généralement peu de vraisemblance, mais il faut avouer que dans cette histoire, l’intrigue est particulièrement rocambolesque. Toutes les situations arrivent de manière saugrenue et/ou gratuite, pourvu que cela permette divers accouplements explicites. Deux types d’entre eux sont à souligner : les viols forcés et semi-nécrophages entre des zombies obsédés sexuels et de jolis nanas dénudées ; des enlacements gluants de lesbiennes, seules survivantes à l’apocalypse en cours, car immunisées. L’explication finale de cette immunité est franchement bancale, mais qu’importe : cette histoire est à parcourir au 45ème degré pour ce qu’elle est : un empilement de scènes de culs entre des zombies et des lesbiennes. Notez que ce comics est signé Hardlard et Dickman, des pseudos gentiment foireux (on ne vous explique pas ce que signifie « hard » et « dick » en anglais…). A ne pas confondre avec Charlie Adlard et Robert Kirkman qui s’occupent authentiquement de la série Walking dead.