L'histoire :
Ce numéro contient :
- Invincible Iron Man (2015) (épisode 6) : Dans la tour Stark d'Osaka, James Rhodes alias War Machine enquête sur l'irruption de Madame Masque. Aucune trace de vol n'est visible...
- International Iron Man (épisode 1) : Lorsqu'il était étudiant en Angleterre, Tony Stark a fait la rencontre de Cassandra Gillespie, l'héritière d'une famille concurrente à la sienne. Rien qui ne l'empêche de l'aborder...
- Captain America Sam Wilson (épisode 4) : Depuis qu'il a remplacé Steve Rogers en tant que Captain America, Sam Wilson enchaîne les mésaventures. Dernière, il est devenu un loup-garou...
- Mighty Thor (2016) (épisode 4) : En voulant à tout prix défendre les elfes blancs des attaques de Malekith et ses armées d'elfes noirs, Jane Foster alias Thor risque bien de mourir au front...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Pour son quatrième numéro, la revue All-New & Iron Avengers présente deux séries mettant en scène Iron Man. Le premier titre est Invincible Iron Man qui arrive déjà à son sixième épisode. Après une première saga très correcte, ce chapitre se révèle en demi-teinte avec un Brian Michael Bendis qui poursuit les intrigues déjà débutées et en met en place de nouvelles. Ce n'est pas encore scotchant mais ça augure du bon pour la suite. Aux dessins, David Lopez a cédé sa place à Mike Deodato Jr pour un résultat assez bon. Le brésilien dont le style est assez photo-réaliste singe même le visage d'un certain Vincent Cassel en guise de Fatalis. Le second titre sur Tête de Fer est International Iron Man où Bendis retrouve son dessinateur fétiche de Daredevil : Alex Maleev. Ce premier épisode pose des bases intéressantes et dévoile une séquence issue du passé de Tony Stark. Plutôt pas mal du tout. Ensuite vient la suite de Captain America Sam Wilson dans lequel Nick Spencer s'éclate avec son héros transformé en loup-garou ! C'est assez drôle et bien écrit, et en plus c'est Paul Renaud qui succède à Daniel Acuña aux crayons. Enfin, la revue se conclut avec un épisode du Mighty Thor de Jason Aaron. C'est toujours aussi bien et plus sublime à chaque fois. Russell Dauterman assure ! Une bonne revue.