L'histoire :
Ce numéro contient :
- Ultimate End (épisode 4) : À Manhattan, les héros s'affrontent sans relâche tandis que des super-vilains sont libérés lors du combat entre deux Hulk...
- Inhumans : Attilan Rising (épisode 4) : Flèche Noire a été arrêté et conduit directement en salle d'interrogatoire. Torturé mentalement pendant des heures, le prisonnier voit arriver Medusa qui demande une discussion...
- Squadron Sinister (épisode 4) : Hyperion est dans un colère noire suite à la disparition d'un autre membre de son Escadron Suprême. Pour lui, le responsable n'est autre que Nighthawk. Tous les deux entament un combat âpre et violent...
- Captain Marvel and the Carol Corps (épisode 4) : Souhaitant en apprendre plus sur leurs origines, les pilotes du Corps de Carol Danvers ont pris les commandes de leurs avions et volent vers l'inconnu. Seulement, elles sont rapidement prises en chasses par les émissaires de Fatalis...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Avec la revue X-Men, Ultimate End est probablement le plus mauvais magazine portant la bannière Secret Wars. En effet, malgré quelques points positifs, l'ensemble des titres au sommaire est si faible qu'y trouver de l'intérêt est loin d'être simple. Ultimate End ne cesse de tourner en rond et de ne pas avancer. On notera l'élan de franchise du scénariste Brian Michael Bendis qui le fait dire ouvertement par l'un des personnages. Les Inhumains de Charles Soule ne transcendent pas non plus avec des ressorts prévisibles et la folle envie de s'endormir qui se fait plus présente. Squadron Sinister bouge déjà plus. Carlos Pacheco s'en sort pas mal du tout et niveau scénario c'est plus accrocheur. Enfin, Captain Marvel and the Carol Corps figurera probablement avec Siege comme l'un des titres les plus énigmatiques publiés par Marvel durant ce crossover. Incroyablement creux, cet épisode est dans la lignée des précédents aussi inutiles que mauvais. Comment peut-on écrire une histoire sans savoir où l'on va ? Et dire qu'il reste encore un numéro, le monde est mal fait quand même...