L'histoire :
2029. Il y a déjà plusieurs décennies que le système informatique Skynet est devenu conscient et s’est révolté contre les humains en lâchant une arme nucléaire particulièrement mortelle. Suite à cette destruction de masse, les rares humains survivants sont rentrés en guerre contre Skynet et font face tant bien que mal à ses armées de drones et de Terminators programmés pour tuer. La résistance, dirigée par John Connor, entraîné depuis l’enfance à combattre ces machines, grâce à sa mère, Sarah Connor, consciente de cette guerre imminente gagne peu à peu du terrain contre les machines. C’est à ce moment-là que Skynet a développé un nouveau modèle de Terminator, le T-800 pour tenter d’anéantir la résistance avant qu’elle ne débute, en envoyant le cyborg à travers le temps, en 1984. Pendant, ce temps-là à Pasadena, en Californie, de petites colonies humaines tentent de survivre dans ce paysage hostile défiguré par la guerre. Parmi ces combattants, le sergent Kyle Reese et ses amis décident de mener l’assaut contre les machines dans une installation secrète de Cyberdyne. Mais les choses ne se passent pas comme prévu et bien vite, John Connor lui propose une mission très particulière...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le moins que l’on puisse dire c’est que la franchise Terminator est un véritable vivier et qu’on ne compte plus les adaptations et les séries parallèles. Avec The Terminator 2029 – 1984, le scénariste Zack Whedon et le dessinateur Andy MacDonald ont décidé de mettre l’accent sur la guerre entre Skynet et les humains quelque temps avant que le sergent Kyle Reese ne soit envoyé dans le passé par John Connor pour y sauver sa mère, Sarah Connor du terrible T-800. L’histoire se veut donc comme une préquelle au film de James Cameron qui permet d’en savoir plus sur le monde d’après le réveil de Skynet. Et force est de constater que Whedon a su capter l’essence de la franchise Terminator tout en développant des personnages attachants. De son côté, MacDonald a opté pour des graphismes nerveux et froids qui se marient parfaitement aux ambiances apocalyptiques de 2029, dans un monde ravagé par la guerre contre les machines. Au final, ce premier tome de The Terminator 2029 – 1984 s’avère être très intéressant et donne un prisme nouveau sur une vision de la guerre de Skynet face aux rebelles et ce, avant que Kyle Reese soit envoyé en 1984 pour sauver Sarah Connor. Vivement le second tome !