L'histoire :
Hayato et Ichigo se rendent au quartier général du Rokkikai avec la ferme intention d’écraser tous ses membres. A peine sont-ils entrés dans leur repère qu’Ichigo annonce la couleur, ce qui énerve Hayato qui voulait sortir une phrase classe. Les membres du Rokkikai les prennent d’abord pour deux abrutis mais ces derniers ne se démontent pas pour autant et commencent à fracasser les racailles. L’un des chefs décide de poursuivre la bagarre dehors car il pourra ainsi utiliser des armes en toute tranquillité. En le voyant sortir avec des sous-fifres, Ichigo et Hayato les suivent pour poursuivre la baston sur un parking. Pourtant, ce ne sont pas quelques barres de fer qui vont venir à bout des deux garçons qui continuent à exploser uns à uns les membres du Rokkikai. C’est alors qu’arrive une voiture qui fonce sur Ichigo et le renverse. Puis le bolide s’arrête et son conducteur, Kyôya, en sort : visiblement, celui-ci est tout content d’avoir renversé celui qu’on surnomme Jetkong et s’inquiète surtout pour le phare qu’il vient de casser. Cela finit de mettre Hayato en colère et, même si ce dernier se retrouve seul face à plusieurs, il n’a pas dit son dernier mot…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce sixième opus commence de manière plutôt forte puisque, d’entrée de jeu, Ichigo et Hayato arrivent au repère du Rikkokai, bien décidés à exploser tous leurs membres. Sur un peu plus de la moitié du volume, on va assister à une baston où les adversaires ont mis le côté fair-play complètement de côté : entre les armes et un renversement par voiture, ceux-ci se montrent aussi cruels que redoutables. Tout ce qu’on peut dire pour ne pas spoiler, c’est qu’on assiste à un grand moment qui va laisser Hayato en caleçon. Puis, le reste du volume prend un ton plus léger : une nouvelle rumeur concernant Ichigo a vu le jour et on apprend une chose plutôt surprenante à propos de ce dernier, à tel point que Hayato n’arrive pas à convaincre ses amis de la vérité. Comme d’habitude, l’ensemble est saupoudré de gags bien sentis et le dynamisme des graphismes contribuent à faire ressortir l’ambiance du récit. Un bon tome donc, qui nous donne envie de lire la suite.