L'histoire :
Ichizaki s’est emparé du fusil et en profite donc pour prendre le pouvoir dans le groupe. Il envoie alors les garçons dans la forêt avec la mission de filmer au moins une minute chacun le tueur en série. Pendant ce temps, Ichizaki compte assouvir ses fantasmes avec les filles. Pour lui, Dead Tube est une aubaine : non seulement ses crimes ne seront pas punis, mais en plus cela pourrait même lui sauver la vie et lui apporter la gloire. Il force les filles à se déshabiller mais hésite entre deux d’entre elles pour élire celle qui lui prendra sa virginité. Pour les départager, il leur impose une épreuve sexuelle...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Depuis le début, Dead Tube s’est illustré dans le racolage et le mauvais goût. Aussi, on n’est pas surpris de voir le premier chapitre tourner au viol... Même si les gros coquins pourront s’en mettre plein les yeux à ce moment, cela ne dure heureusement pas. La suite devient beaucoup plus violente puisque Crazy Lascar repasse à l’action. Il y a bien sûr du sang, du suspense et de nombreux personnages perdent la vie - et la tête (littéralement). Mais il n’y a pas que du défouloir : quelques révélations parsèment le tout et l’identité de Crazy Lascar est sur le point d’être dévoilée. Le spectacle est là, conforme à nos attentes, et les amateurs du genre peu à cheval sur la morale et la crédibilité sauront sûrement y trouver leur compte. Il n’y a plus qu’à choisir son camp.