L'histoire :
Ce matin, Tsukimi dort profondément quand Mayaya et Banba font irruption dans sa chambre et la secouent violement pour la réveiller. Elles sont venues lui annoncer que Mlle Mejiro a enfin terminé le logo pour la marque Jellyfish ! Puis, Mayaya et Banba décident d’aller acheter des enveloppes kraft pour les tamponner avec le logo. Hélas, lorsqu’elles arrivent au niveau de la papeterie, un engin de chantier est en train de démolir la boutique. Catastrophées, les deux demoiselles demandent des explications au propriétaire de la boutique qui leur explique qu’il n’a pas eu d’autre choix que de vendre à cause de la crise et que les autres commerçants du quartier ont fait pareil. En fait, li ne reste que leur résidence qui n’a pas encore été vendue. Mayaya et Banba s’empresse d’aller montrer l’ampleur des dégâts à Tsukimi qui fonce ensuite voir Kuranosuke pour lui dire qu’elle veut faire plein de robes méduses. Pendant ce temps, Mlle Inari décide de voir la propriétaire de la résidence en Corée du Sud pour lui acheter la résidence...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Tsukimi et Mlle Inari mènent chacune une bataille dont la résidence est l’enjeu. En ce qui concerne la promotrice, celle-ci se rend en Corée du Sud pour voir la mère de Chieko qui est la propriétaire, et lui faire vendre le bâtiment. Malgré les apparences, ces passages-là sont assez amusants car la mère de Chieko est un personnage haut en couleurs. De son côté, Tsukimi se lance à fond dans la confection de robes méduses et prépare carrément un défilé de mode. Non seulement, cela fait du bien de voir la demoiselle s’investir à fond mais cela va en plus être l’occasion de découvrir une nouvelle demoiselle moisie et d’en apprendre un peu plus sur les autres habitantes de la résidence qui se montrent très attachantes et pleines de ressources. Là aussi, l’humour est de la partie et le rythme est aussi élevé que celui subi par les personnages : aucun temps mort pour nos zygomatiques ! De fait, l’histoire avance à très bonne vitesse et conserve son ton décalé : on adore et on en redemande !