L'histoire :
Nika et les autres filles dont le couple a été brisé demandent à Meika de s’expliquer sur ses actes. Cette dernière commence alors à pleurer en expliquant que, au collège, les autres filles la laissaient à l’écart et changeaient de comportement face à leur petit ami. Point attendri par cette histoire, Masamune diffuse un enregistrement de Meika dans lequel elle déclare qu’il est trop facile de manipuler les gens en faisant la malheureuse. C’en est trop pour les jeunes filles qui explosent de colère et décident de punir Meika de façon exemplaire avec le « supplice de l’épilation ». Chacune son tour, les demoiselles prennent une pince à épiler et enlève un poil à Meika là ou cela est spécialement douloureux. Pendant qu’elles accomplissent leur vengeance, Nika emmène Arata à l’extérieur et lui avoue être rassurée qu’il ne soit pas amoureux de Meika. C’est alors qu’Arata approche sa tête de celle Nika avant de l’embrasser…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Comme dirait Natsumi Aida : « On sait que vous lisez ce manga, alors ne faites pas l’élégante ». Si on suit ce conseil, on est rapidement embarqué dans l’histoire où toutes les switch girl sauront se retrouver en Nika (peut-être pas à tous les niveaux, d’accord, mais bon). Malgré un baiser échangé dans le premier chapitre, la relation entre Nika et Arata n’avance pas beaucoup mais l’humour omniprésent est là pour nous le faire oublier et nous offrir un bon moment de détente et de rigolade : on apprend entre autres comment prévenir le niveau sonore d’un pet, les zones les plus sensibles lors d’une épilation et, le must, qu’une tenue SM peut vous sauver la vie lorsque vous êtes sur une île déserte (si, si, c’est vrai !). On regrettera un peu que l’intrigue ne se déroule que sur les deux-tiers du volume mais, pour nous consoler, l’auteur nous offre l’histoire originelle de Switch girl qui s’avère toute aussi sympathique que la série. Encore une fois, la lecture est enthousiasmante et on en redemande.