L'histoire :
Sachant qu’il y a un traître auprès de Mikan, Yoichi se dépêche d’aller retrouver la demoiselle pour la prévenir. Alors qu’il court à toute vitesse dans la forêt, il se fait attraper par un membre de la section disciplinaire. Yoichi se débat pour tenter de se libérer, en vain. Heureusement pour lui, le membre de de la section disciplinaire est neutralisé par une hache qui vient heurter de plein fouet son visage : il s’agit de Bear, venu à la rescousse du garçon. Tous deux se rendent alors au palais des fleurs et, même si elle n’apprécie pas d’avoir de nouveau des intrus qui pénètrent le champ de force autour du bâtiment, la directrice choisit de les aider... Pendant ce temps-là, Mikan et ses amis voient des cristaux d’alice et une lettre apparaître devant eux. Cela leur est envoyé par Yuka qui leur écrit de se faire insérer les cristaux par Mikan : c’est donc sur les épaules de cette dernière que repose leur sort...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après un long flash-back, l’histoire reprenait à peine son cours à la fin du volume précédent : c’est donc dans celui-ci que l’on assiste, entre autre, à la fuite de Mikan et de ses amis, et c’est toute l’académie qui est en ébullition. En effet, d’un côté, Mikan veut sauver ses amis emprisonnés et doit fuir pour se préparer au combat avec ses compagnons et, de l’autre, Kuonji a fait en sorte de réquisitionner tous les élèves pour les traquer, pendant que la directrice du collège met sa neutralité de côté et choisit son camp, sans oublier Narumi qui confesse à Yuka ce qu’il a sur le cœur. Quels que soient les personnages que l’on observe, il n’y a plus d’hésitation car l’heure de l’affrontement a sonné : tous vont donner leur maximum et aller au-devant du péril, le plus impressionnant et le plus surprenant étant le sacrifice de Nobara. La tension est palpable et les émotions des personnages nous sont parfaitement communiquées : de fait, nos nerfs sont à vif et on s’agrippe à chaque page tant le récit nous captive et nous absorbe. Bref, est-il vraiment nécessaire de dire qu’on désire plus que tout la suite qui s’annonce elle aussi intense et riche ?