L'histoire :
Les prélats de Skypiea sont dans la forêt interdite et comptent bien se débarrasser des Shandia et des pirates du Vogue Merry. L'un des suppôts d'Ener, Gedatsu, est très grand et a une très mauvaise vision. Il n'aperçoit pas Tony-Tony Chopper qui est juste à côté de lui. Heureusement pour lui, le prélat a un assistant qui l'avertit de la présence du médecin de l'équipage de Luffy. Gedatsu déclare que les chances de survie dans ce lieu précis sont de moitié, alors qu'il est en train de s'enfoncer dans des sables mouvants. Équipé de vaso-nimbus aux pieds et aux bras, il se sort toutefois sans mal de ce piège naturel. Alors qu'il s'est envolé, Gedatsu envoie des projectiles en direction de Chopper mais, à cause de sa mauvaise vue, touche son assistant. Le médecin part alors sauver son ennemi avant d'enchaîner esquives et combats...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Partout où ils passent, Luffy et son équipage doux-dingue de pirates s'attirent la foudre d'ennemis toujours plus puissants. En arrivant sur Skypiea, c'est dorénavant à Dieu qu'ils auront à faire. S'il ne s'agit pas vraiment d'une divinité, leur adversaire et ses prélats sont les plus puissants qu'ils n'aient jamais croisés. Ce 18e Log est donc forcément une succession de scènes d'action et de combats sur fond de ruines et autres cités mythiques. Et bien sûr, nous rajouterons une petite dose de surprise avec un trésor cherché depuis des décennies. One Piece est assurément l'un des shônen les plus efficaces qui soient, pourtant celui-ci commence à lasser un peu. Les raisons sont simples puisque le mangaka Eiichiro Oda réutilise les mêmes ficelles narratives. Du coup, les rebondissements sont prévisibles et l'ennui commence à pointer le bout de son nez (d'Usopp). Espérons que cela change un peu par la suite. Les dessins sont toujours aussi soignés et permettent de compenser cette légère baisse de forme. Un album qui convaincra les fans.