L'histoire :
Oga fait un terrible cauchemar : sa réputation de mec le plus fort est déclarée obsolète et il est jugé pour être surnommé « Oga le faible naze qui pue et qui fuit », personne ne pouvant ni ne voulant le défendre. Aussi, lorsque le jeune homme se réveille, il est complètement abattu et sort de chez lui avec l’air complètement dans le coltard et toujours avec Baby Beel dans le dos. Sur la route, il croise trois voyous qu’il démonte machinalement et leur annonce malgré tout qu’il n’a plus confiance en lui. Puis, Oga arrive au dojo du grand-père d’Aoi et demande au vieil homme de l’entraîner pour qu’il devienne plus fort. De son côté, Saotome explique à Tôjô qu’il a affronté de véritables démon mais le garçon est débile et ne comprend rien. Quand à Hilda, celle-ci charge Lamia de retrouver En’ô. Lamai décide alors de demander de l’aide à Furuichi...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Oga et Furuichi vont chacun s’organiser autour des fils des enfers. En ce qui concerne le premier, il réalise qu’il n’est pas aussi fort que sa réputation le dit et décide de s’entraîner dans le dôjô du grand-père d’Aoi où Baby Beel va se trouver un rival. D’autres personnages secondaires qu’on avait - il est vrai - un peu oubliés vont s’ajouter au groupe et on va assister à un enseignement plutôt difficile et complètement farfelu. Entre un maître qui en demande beaucoup et des disciples franchement crétins, la situation vire rapidement au grand n’importe quoi mais il faut bien admettre qu’on rigole énormément. Du côté de Furuichi, c’est En’ô qui est au centre des attentions. Furuichi va d’abord rassembler une fine équipe pour retrouver le démon avant de l’affronter dans un combat extrême de... jeux vidéo ! Là encore, l’intrigue propose de situations qui dégénèrent à cause des personnalités farfelues des protagonistes, mais cela est tellement inventif et drôle qu’on n’y résiste pas. Du coup, on passe encore une fois un moment très divertissant qui muscle nos zygomatiques : que du bon !