L'histoire :
Les vacances d’été sont pour demain, jour où Teru a prévu de déménager afin de ne plus être un parasite pour Kurosaki. Pour le remercier de l’hébergement, Teru veut lui offrir un cadeau mais elle ne sait pas quoi choisir. Aussi, elle demande conseil à ses amis qui s’interrogent sur le degré de leur relation. Pendant ce temps-là, Kurosaki discute avec Riko qui veut s’assurer que le jeune homme ne regrette pas de laisser partir la lycéenne. La femme lui demande par ailleurs d’être gentil avec Teru pour leur dernière soirée ensemble au lieu de se montrer le tyran habituel, ce qu’il pourrait regretter après coup. Un peu plus tard, Kurosaki retrouve Teru à l’appartement : la demoiselle a prévu de lui faire des gyozas pour leur dernier repas et donne donc la liste des courses au garçon. Ce dernier refuse de faire le larbin et Teru a bien du mal à le convaincre : même montrer son nombril ne marche pas cette fois-ci ! Le soir, Teru rentre tard et se dit que Kurosaki a sûrement dîné sans l’attendre mais une surprise l’attend...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le premier chapitre de ce volume commence fort puisque Teru déménage afin de ne plus être un poids pour Kurosaki dont elle est pourtant amoureuse. Evidement, on se doute que la demoiselle ne va pas très loin mais cela permet tout de même à leur relation de prendre une nouvelle tournure. Puis, l’intrigue se concentre de nouveau sur les problèmes de Teru : la mort de son frère est toujours présente dans son cœur et les ennuis s’enchaînent (les brimades de la part de filles jalouses, le retour de Takeda, l’envie de rencontrer Daisy qui se fait de plus en plus ressentir...). Les rebondissements sont toujours aussi nombreux (celui de la fin n’étant d’ailleurs pas piqué des hannetons) et le récit n’en est que plus rythmé, d’autant que les gags et les passages sentimentaux sont également de la partie, et en nombre. L’ensemble s’accompagnant de graphismes tout à fait soignés et plaisants (et ce malgré un côté classique), on est une fois de plus séduit par l’histoire et il nous tarde de lire la suite.