L'histoire :
A la résidence Samidare, c’est la panique : Tamaki a perdu une petite culotte et elle est persuadée que Shinkurô est l’auteur de ce crime. Du coup, elle met un bazar pas possible dans la chambre du jeune homme à la recherche de son sous-vêtement disparu, tandis que ce dernier clame son innocence. Yûno aide la demoiselle dans sa fouille et toutes deux rigolent bien en regardant dans les affaires de Shinkurô. Cependant, au bout d’un moment, Yûno ne supporte plus que Shinkurô et Tamaki s’entendent aussi bien et la jeune fille finit par s’emporter. Soudain, la télévision se met à parler d’une agression qui a eu lieu dans le quartier, de la même nature que celles survenues depuis un mois. Immédiatement, Tamaki se dit qu’elle a été victime du pervers dont parle le journaliste et décide de l’arrêter, forçant Shinkurô à l’aider...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le premier volet nous avait laissés sur une impression mitigée, aussi espérait-on pouvoir se faire un avis définitif avec celui-ci mais il faut bien reconnaître que le constat est le même : du potentiel inexploité. En effet, après une première affaire - dispensable - de pervers qui sévit dans le voisinage, l’histoire plonge dans le passé pour nous présenter la rencontre entre Shinkurô et Murasaki : on en apprend ainsi un peu plus sur les familles Hôzuki et Kuhôin, et on comprend désormais d’où vient l’attachement de la fillette pour le jeune homme. Malheureusement, le ton général reste un peu trop enfantin et l’intrigue n’est pas très palpitante : du coup, on a du mal à accrocher à l’ensemble. C’est assez dommage car les graphismes sont quant à eux corrects et, malgré un côté stéréotypé, dégagent un certain style. Bref, un deuxième opus qui laisse lui aussi mi-figue mi-raisin.