L'histoire :
Il fait nuit quand Yogi entre dans la chambre de Nai et Tsukumo et s’étonne de les voir encore debout en train de faire de la couture dans leur chambre. Comme les deux jeunes gens ont bientôt fini, Yogi demande à rester dormir avec eux cette nuit. En fait, ils ne doivent pas se lever tard le lendemain pour dire au revoir à Gareki et c’est la raison pour laquelle Yogi est déprimé. Le jour dit, Gareki est étonné de voir Yogi, Nai et Tsukumo venir le voir « une dernière fois ». Les trois jeunes gens lui donnent ensuite des cadeaux avant de lui faire un câlin. Gareki pense que cet élan d’affection est dû au fait qu’ils ne pensent pas qu’il va réussir ses examens. Cependant, Yogi, Nai et Tsukumo ne comprennent pas de quoi parle Gareki. En fait, Hirato ne leur avait pas dit que Gareki ne partait pas pour toujours mais pour aller dans une école très spéciale...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Deux évènements marquent ce septième opus : l’examen d’entrée de Gareki à l’académie Chronomei qui forme les membres des agences gouvernementales (dont Circus) et le réveil de Karoku. En ce qui concerne le premier, on suit Gareki en train de faire ses premiers pas dans un nouvel environnement : pour l’instant, le jeune homme trouve ses marques tout en faisant le point sur ce que représentent Nai et les autres à ses yeux. Il y a quelques scènes d’action avec certains exercices de test et on fait connaissance avec de nouveaux personnages hauts en couleurs, mais cela ne donne pas beaucoup de rythme pour autant. En fait, on ne saisit pas trop l’utilité de faire toute une partie à part sur le sujet car cela risque de s’éterniser : on espère que cela ne sera pas le cas ou alors que cela se révélera finalement utile, car l’ennui risque de pointer le bout de son nez dans le cas contraire. Quant au réveil de Karoku, là non plus il ne se passe pas grand-chose : on apprend les origines du jeune homme mais c’est à peu près tout ce qu’il y a à retenir. Du coup, on est un peu perplexe et on reste dans l’expectative d’un vrai changement de taille. Au final, ce volume sert surtout de transition et se montre bien mou : pourvu que la suite soit plus efficace.