L'histoire :
Ken-Ishi et Miu sont en train de s’entraîner lorsque Niijima vient leur rendre visite. Celui-ci a réussi à trouver des informations sur l’un des huit champions de Ragnarök : Siegfried. Selon les témoignages de ses anciens adversaires, Siegfried encaisse les coups jusqu’à ce qu’il tombe mais finit par se relever et gagner sans que l’autre ne se rende compte de quoi que ce soit. Ken-Ishi ne veut pas en entendre plus : l’alliance Shinpaku ne le concerne pas et, de plus, les infos récoltées sur Siegfried sont inutiles. Vexé, Niijima repart mais sa détermination à récolter des renseignements n’en est que renforcée. C’est ainsi qu’il finit par trouver un entrepôt dans lequel Siegfried et Loki ont rendez-vous. Malheureusement pour lui, Niijima se fait démasquer et doit utiliser la seule technique qu’il maîtrise : la fuite. Mais Siegfried le rattrape facilement et décide de le garder comme otage pour détruire l’alliance Shinpaku. Le lendemain, les membres de l’alliance viennent trouver Ken-Ishi pour lui annoncer que Niijima a disparu. D’abord sceptique, le garçon se rend compte que son pire ami a effectivement été enlevé et décide d’aller le sauver…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Deux grands dangers, aux caractères différents mais importants, guettent Ken-Ishi et Miu dans ce volume. Dans la première moitié, le gang Ragnarök se montre plus offensif, ce qui est l’occasion de découvrir le 5ème champion : Siegfried, un jeune homme qui compose de la musique de façon un peu trop motivée. Dans la deuxième partie, deux professeurs font une visite au Ryozampaku pour rencontrer les « parents » de Miu, c’est-à-dire Sakaki et Shiguré. Entre action et humour, l’histoire se montre particulièrement rythmée, la folie des personnages nous emportant complètement dans leurs délires. Mis à part le choix du tramage, les graphismes sont par ailleurs de bonne qualité avec, comme à l’accoutumée, une dose de fan-service agréable à l’oeil. Un bon volume donc, même si les choses n’avancent pas vraiment.