L'histoire :
Le régiment Rosen Ritter est constitué de transfuges de l'Empire et est considérée comme l'unité de combat la plus féroce. C'est à elle que l'amiral Yang a confié la mission d'infiltration de la forteresse d'Iserlohn. Il considère que ce sont les soldats les plus aptes pour cela car ils pourront facilement tromper l'ennemi. Yang ne doute pas de leur fidélité. Et il a raison ! Les Rosen Ritter parviennent à s'y infiltrer et à répandre un gaz soporifique dans la forteresse. Grâce à cela, l'amiral Yang peut envoyer des autres navires sur place. Rapidement, l'Alliance s'empare de la forteresse...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
L’amiral Yang met au point une stratégie osée pour que l’Alliance puisse faire main basse sur la forteresse d'Iserlohn. La mise au point de son plan est bien décrite et assez logique, et pour une fois les choses se passent sans problème. Cet évènement pourrait totalement faire changer la donne, mais en fait non, le scénario marque une pause mystérieuse. Au lieu de cela, du côté de l’Alliance, Yang préfère se reposer et, du côté de l’Empire, on « punit » Reinhart en envoyant son loyal Kirchies mater une petite rébellion (on remarquera que, étrangement, malgré des noms germaniques, les rebelles sont dans un univers inspiré de la Rome Antique) sans grand intérêt pour la suite. On est assez perplexe quant à cette pause dans l’histoire principale car cela ne présente rien de capital pour l’intrigue et la forteresse tant convoitée semble finalement assez anecdotique. La dernière partie trouve quant à elle une excuse fumeuse pour relancer la guerre comme si de rien n’était. Tout ça pour ça ? Quelle déception.