L'histoire :
Toujours à l’hôpital, Soul fait un terrible cauchemar : il est plongé dans le noir et, quand il essaye de sortir de l’obscurité en passant par la petite lumière qu’il aperçoit, il s’extrait du corps de Maka. Le jeune homme se réveille alors en hurlant et tente de rassurer son meister qui est restée à son chevet pendant son sommeil. Cette dernière essaye de se montrer la plus gentille possible mais elle n’arrive pas à cacher toute la culpabilité qu’elle ressent envers son arme. Pendant ce temps-là, Black Star est puni : il doit ranger la bibliothèque de l’école. Cependant, la tâche est bien trop fatigante et le jeune homme préfère y lire des mangas. C’est alors que Kid arrive : ce dernier est à la recherche d’un livre sur Excalibur, la légendaire épée qui donnera la gloire à son possesseur. Alors qu’ils sont tous les deux en train de rêver à ce qu’ils pourraient faire de l’arme légendaire, le docteur Stein arrive à son tour dans la bibliothèque. En voyant que les deux garçons se documentent sur Excalibur, Stein leur indique le lieu où se trouve l’épée. Sans réfléchir, Black Star et Kid se ruent là-bas sans savoir que la légende n’est pas complète…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Bien qu’assez amusant avec une version détournée de la légende d’Excalibur, le premier chapitre ne fait pas vraiment avancer l’histoire. Néanmoins, une fois cette partie passée, le scénario devient plus sérieux et les choses avancent grandement : Tsubaki va affronter son frère, alias Masamuné le sabre maudit. En plus d’un terrible combat fratricide, c’est aussi l’occasion de découvrir une nouvelle facette de Black Star qui lui donne un peu plus de profondeur. Par ailleurs, la relation entre Maka et Soul est mise à l’épreuve, la demoiselle n’arrivant pas à supporter l’idée que son arme se soit blessée pour la protéger, et les desseins de la machiavélique Medusa sont un peu plus clairs. Avec de la tension, de l’action, de l’humour et des dessins originaux et de qualité, ce volume ne fait que confirmer la qualité de Soul eater qui s’impose déjà comme un shônen de référence.