L'histoire :
Depuis que Fufu a embrassé Ichi par accident, elle et Daiya ne se croisent plus. Ce matin, en sortant de chez elle, la demoiselle se demande si le garçon va l’attendre dans le couloir de l’immeuble mais ce n’est hélas pas le cas. Elle n’ose pas sonner chez lui et se rend donc seule et déprimée au lycée. Plus tard, en classe, Fufu n’arrive pas à cacher son angoisse et ses amies n’osent pas lui refuser la sortie au karaoké qu’elle leur propose. Après avoir passé une bonne partie de la soirée à monopoliser le micro, Fufu se sent un peu mieux, ce qui rassure ses amies, et elle décide alors de se rendre à la station-service où travaille Daiya. Elle l’observe de loin et finit par rentrer chez elle sans s’être montré à lui. Une fois chez elle, seule dans sa chambre, Fufu passe la tête par la fenêtre pour tenter d’apercevoir Daiya mais c’est Ichi qui apparaît sous ses yeux, le jeune homme rentrant de la bibliothèque. Ils se mettent alors à discuter sans savoir que, à quelques mètres à peine, Daiya les a vus et se cache derrière une voiture pour ne pas les déranger. Le lendemain, Fufu découvre avec joie qu’il a neigé mais la solitude lui pèse : il fait froid dehors mais également dans son cœur...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La première moitié de ce volume se consacre à la distance entre Daiya et Fufu depuis l’incident du baiser accidentel : le jeune homme n’arrive pas à digérer cette histoire, la jalousie le dévorant à petit feu, et la demoiselle ne sait pas comment se faire pardonner. Heureusement, ils vont finir par se réconcilier et la suite se divise en deux parties : la Saint-Valentin où le couple se montre attendrissant, puis un triple rendez-vous avec des amis, ce qui met en avant des personnages secondaires que l’on avait tendance à oublier. Un peu moins intense que le volume précédent, celui-ci se montre en revanche tout de même fort sympathique à suivre et les quelques gags qui y sont disséminés sont très amusants (les scènes à l’hôpital en particulier). Un bon opus en résumé, qui nous donne, comme d’habitude, envie de lire la suite le plus tôt possible.