L'histoire :
En plein milieu de la cour du lycée, Daiya se met à chanter une chanson d’amour pour Fûko. Toutes les filles se retournent immédiatement vers la demoiselle concernée avec une pointe de jalousie à peine dissimulée, mais elles n’ont pas le temps de faire plus car Daiya saute dans la foule pour saisir Fûko par le bras et l’emmener avec lui. Une fois qu’ils sont seuls, Fûko se défait de l’empoignade du garçon et lui reproche son attitude : non seulement les fans du jeune homme risquent d’être encore plus méchantes avec elle, mais en plus elle est encore triste à cause de son histoire avec Ichi. Daiya s’excuse de lui avoir mis la pression et, lendemain, il fait en sorte d’éviter Fûko et nie avoir fait sa déclaration. Lors d’une pause, Fûko va aux toilettes et, enfermée dans sa cabine, elle entend d’autres filles parler d’elle. Heureusement, comme Daiya a dit que son amour pour la jeune fille n’était pas réciproque, les demoiselles décident de ne pas se venger. Après les cours, Fûko rentre seule et trouve Koto devant l’immeuble et cette dernière lui demande de l’accompagner chez son grand-père. Une fois dans le jardin de la demeure, la petite explique à Fûko qu’elle veut qu’elle demande à Ichi de revenir plutôt que de rester près d’Iori...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La rupture définitive de Fûko et Ichi à la fin du volume précédent était particulièrement émouvant et ce n’est pas ce volume qui va aider à ne plus être triste. En effet, même si Daiya avoue enfin son amour à la demoiselle et se montre entreprenant, le ton n’est pas à la bonne humeur ni aux gags car Fûko n’est pas prête à accepter ses sentiments et doit d’abord apprendre à ne plus aimer Ichi. Mais, entre la petite Koto qui veut rabibocher tout le monde et la présence d’Iori, difficile de ne pas se mêler de la vie d’Ichi. C’est donc ici un volume de transition qui nous est présenté, tant parce que l’histoire n’avance pas beaucoup que parce que les personnages eux-mêmes vivent une transition. Néanmoins, on sent tout de même les sentiments des personnages évoluer et leurs émotions nous touchent facilement, ce qui nous rend une fois de plus très émus par ce qu’il leur arrive. Par ailleurs, on peut voir les personnages déguisés pour la fête de Noël et ils sont vraiment très mignons. Et, pour une fois, on peut même voir Fûko en train de se coiffer ! La tension sentimentale est encore là en fin de volume et on est de nouveau tiraillé par une folle envie de lire la suite.