L'histoire :
Le palais des chants divins est un sort terriblement puissant et, alors que Reby essaie toujours de l’annuler, dame Polyussica lui demande de prévenir Luxus que Makaroff, son grand père, est mourant. Celui qui est à l’origine de la tentative de prise de pouvoir se trouve dans la cathédrale Kaldia et voit un nouvel adversaire se présenter à lui : Mistgun. Ce mystérieux membre de la guilde dont le visage est dissimulé sous un foulard et qui n’est quasiment jamais présent est venu régler cette situation. Les deux hommes se battent sans se ménager et, alors que Mistgun multiplie les sorts, l’un d’entre eux réussit à contenir Luxus, mais ce dernier est malheureusement loin d’être à bout et se défait du sort. Erza et Natsu arrivent ensuite dans la cathédrale, ce qui déconcentre Mistgun qui reçoit une boule de foudre en pleine tête. Son visage à présent découvert laisse apparaître celui de Gerald mais lorsqu’Erza l’interroge, il préfère s’enfuir. Alors qu’Erza subit elle aussi de plein fouet un projectile de Luxus, Natsu se rue sur lui mais seul, il ne pourra probablement rien faire. Peut être qu’avec l’aide de Gajil...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Entamé dans le 13ème album, le long combat opposant Luxus et ses sbires à la totalité de la guilde Fairy Tail s’approche de son dénouement avec ce nouvel opus. Débutant par un combat entre Luxus et Mistgun, un personnage dont seul le nom avait été évoqué jusqu’alors, le scénario s’ouvre sur un affrontement où les sorts et les coups pleuvent à chaque page. Intense, le récit prend une tournure étonnante lorsque Mashima dévoile l’identité de Mistgun : alors qu’il a le visage de Gerald, celui-ci dit le connaître mais que ce n’est pas lui. Que comprendre ? Comme à son accoutumée, le mangaka glisse ici, de façon certes plus ou moins finaude, des éléments qui par la suite devraient être élucidés. Le volet se poursuit ensuite avec une union inattendue mais assez réjouissante entre Natsu et Gajil contre Luxus... Les rebondissements sont nombreux, l’action est omniprésente et même la conclusion laisse le lecteur pantois. Se terminant par un petit chapitre bonus revenant sur le passé des personnages, ce quinzième volume, toujours brillamment illustré, montre une recette maîtrisée de la part de son auteur. Un shônen toujours intéressant et qui ne faiblit pas !