L'histoire :
Haru est en train de faire un cauchemar : il se rappelle le dernier jour des vacances avant le collège. A l’époque, le garçon n’avait pas fait ses devoirs et ne s’était pas entraîné non plus au kendo. Il s’était fait réprimander par le grand-père de Kazunari qui avait quant à lui un regard terrifiant. C’est en voyant cette expression sur le visage de son ami que Haru se réveille en hurlant. Le jeune homme est dépité et en colère car il réalise que son affrontement contre Kazunari n’était malheureusement pas un rêve. Une fois qu’il est un peu calmé, Takemi vient lui parler car elle pense qu’il est temps de mettre à plat certaines choses. Elle lui avoue alors être à l’origine de sa cicatrice sur le front...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
S’ouvrant sur Haru qui est choqué d’avoir dû se battre contre Kazunari (et d’avoir en plus essuyé un échec), on craint que ce volume ne poursuive sur les lamentations du garçon. S’il n’en est heureusement rien, on reste cependant perplexe par la tournure des évènements. Ainsi, des compagnons de Haru lui font des révélations sur sa cicatrice : cela arrive un peu tardivement et la justification paraît un peu trop bancale pour convaincre. Puis, l’action revient car le fort de Wakasu est attaqué par des monstres, personne ne sachant expliquer pourquoi. Là, on s’attend à assister à un carnage mais, une fois encore, l’histoire prend une tournure inattendue : de nouveaux personnages font leur apparition ainsi que Kûshiro. Là, les protagonistes s’affrontent pêle-mêle mais les attaques fusent dans tous les sens et les graphismes ne sont pas très lisibles, si bien que cela donne du n’importe quoi pas vraiment clair. S’ajoute à cela une interruption de combat aussi rapide que son introduction et nous laissant déconfit tellement le passage aura été inutile. Voilà donc un volet plus déconcertant qu’autre choses et toujours pas engageant pour la suite.