L'histoire :
Découvrez quatre nouvelles histoires d’amour ayant le bus en commun :
Alors qu’elle fait une sortie avec des copains, Ritsuko s’isole pour écouter son répondeur : Kôtarô, un ancien camarade du lycée, lui a laissé un message dans lequel il explique avoir trouvé dans le bus un objet ayant appartenu à Miho, leur meilleure amie de l’époque. N’arrêtant pas d’y penser, la jeune femme décide alors de rencontrer Kôtarô qu’elle n’a pas revue depuis le décès de Miho il y a un an de cela, même si cela fait remonter de mauvais souvenirs à la surface…
Dans le bus, Miwa prend en photo un garçon qu’elle trouve très beau. Malheureusement pour elle, elle fait tomber son téléphone par terre et celui qui le ramasse n’est autre que le jeune homme en question. Ce dernier la traite alors de perverse mais, malgré la honte, la demoiselle reprend le bus le lendemain pour rentrer de l’école. Elle y rencontre de nouveau le garçon et les deux jeunes gens se mettent à se disputer.
En sortant de son nouveau job, Sakurako se fait agresser par une fille qui lui verse une bouteille d’eau sur la tête. Trempée, la jeune fille est bien embêtée pour prendre le bus dans cet état. Heureusement, un de ses collègues lui propose de venir chez lui pour qu’elle puisse se sécher…
Tous les jours dans le bus, Yamada aperçoit une jeune fille en haut d’un pont. Un jour, il décide de l’aborder mais la situation va prendre une tournure inattendue…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après un premier volume particulièrement émouvant, on était très ravi à l’idée de pouvoir lire la suite. Même si le résultat n’est pas aussi prenant que dans le volume précédent, les quatre nouvelles présentées ici sont de tout de même fort agréables à lire pour les amateurs de shôjô. Les personnages sont tous aussi attendrissants les uns que les autres et, bien que les intrigues soient prévisibles, la narration est suffisamment maîtrisée pour captiver notre attention du début à la fin. Souvent légères, les histoires nous offrent un bon moment de lecture, sympathique et emprunt de romantisme, et les personnages sont souvent plus profonds qu’il n’y paraît. Tout cela est mis en images par des graphismes corrects et en amélioration, dans un style qui rappellera assez fortement celui de Yuuki Obata (l’auteur, entre autres, de C’était nous). Une suite honnête donc, et qui nous donne envie d’en lire un peu plus encore.