L'histoire :
Sayama avait reçu une proposition d’embauche d’une grande banque mais celle-ci s’est rétractée car il n’est qu’un jeune diplômé. C’est d’un air abattu que le jeune homme confie cela à son professeur d’études. Celui-ci souhaite aider Sayama et lui parle alors d’une ancienne élève qui a ouvert un restaurant et cherche un employé masculin. Le jeune homme accepte d’aller voir là-bas et réalise qu’il s’agit d’un maid café, les serveuses ayant toutes une grosse poitrine et étant particulièrement mignonnes. L’ancienne étudiante du professeur est la propriétaire de l’établissement et fait donc passer un entretien à Sayama. La demoiselle se plaint qu’il n’ait rien d’exceptionnel et, désespéré, Sayama la supplie de l’embaucher en lui disant être prêt à faire n’importe quoi. A la grande surprise du jeune homme, la femme se déshabille et lui demande de lui montrer ce qu’il a dans le pantalon. Comme Sayama parvient à la faire jouir, il est finalement recruté mais à certaines conditions. En effet, la jeune femme est aussi écrivain et est en panne d’inspiration. Elle a donc mis des caméras partout dans le restaurant et Sayama va devoir faire l’amour à toutes les serveuses dans l’établissement pour aider la propriétaire à trouver des idées pour son prochain roman...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Devenir manager de plusieurs serveuses en tenue de soubrette à qui il va falloir faire l’amour, voilà ce qui attend Sayama, le personnage principal de ce hentaï. Le pitch selon lequel un homme timide et un peu loser va devenir le sex toy de ses collègues féminines n’est certes pas original mais permet de favoriser les rencontres coquines. Pourtant, on note tout de même quelques éléments originaux car Sayama ne se contente pas de subir les assauts de ces dames et provoque parfois volontairement les séances coquines. De même, celle qui fait battre le cœur du jeune homme passe à la casserole de son propre chef (ce qui arrive en général en fin de série) et toutes les jeunes femmes sont volontaires pour faire l’amour devant des caméras car cela peut aider leur propriétaire à écrire des romans à succès. Le fil conducteur est passablement ridicule mais au moins il n’y a pas de longueurs : Sayama enchaîne les parties de jambes-en-l’air sans qu’il n’y ait de temps mort. Les scènes coquines sont d’ailleurs très juteuses et les dialogues sont assez salés, ce qui ravira les petits cochons. Les jeunes femmes ayant toutes des poitrines énormes et des tenues différentes, il y a largement de quoi se rincer l’œil et la censure reste suffisamment légère pour ne pas gâcher les passages coquins. Les pages sont dynamiques et fournies, mais on regrettera que les planches originellement en couleurs soient passées en noir et blanc car le rendu de celles-ci n’est pas terrible. En tout cas, voici un récit très coquin et un poil original : avis aux amateurs.