L'histoire :
Fils héritier du groupe mondialement connu Takatori, Yûichi est un étudiant comblé : il vit au manoir familial dans le luxe et peut profiter du corps des nombreuses soubrettes qui sont également les maîtresses de son père. En fait, il a déjà couché avec chacune d’elles, à l’exception de la douce et timide Akiho. Malheureusement, cette vie ne doit pas durer longtemps : dans un mois, Yûichi aura 20 ans et son père le mettra à la porte, n’acceptant de le revoir que lorsqu’il se sera trouvé une épouse. La veille de son départ, Yûichi est rejoint par une Akiho à moitié nue. Celle-ci lui explique qu’elle a été recueillie comme enfant de compagnie mais qu’elle est devenue soubrette pour rester auprès de lui. Touché par ces aveux, Yûichi prend Akiho dans ses bras et ils font l’amour, ce qui est d’ailleurs la première fois pour la demoiselle. Le lendemain, Yûichi apprend qu’Akiho va l’accompagner pour l’épauler et l’aider à se trouver une épouse...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Riche hériter dont les soubrettes sont très cochonnes, Yûichi doit partir s’installer avec sa domestique préférée afin de se trouver une femme : voilà un synopsis qui ne s’encombre pas trop de réflexion et nous laisse bien présager de ce qui nous attend. En effet, on devine dès le début qui sera l’heureuse élue mais, tout au long du volume, Yûichi va tenter de nouvelles expériences avec des demoiselles très jolies qui pourraient « faire l’affaire ». Le romantisme n’est donc pas de mise mais les personnages n’y tiennent pas particulièrement, ce qui permet au récit d’aller droit au but : les scènes de sexe ! Ces dernières, nombreuses et coquines, varient les positions et les costumes des jeunes femmes : on ne se lasse donc pas de les regarder. De plus, ces demoiselles ont des courbes très sexy, ce qui participe bien évidemment au charme. On regrettera cependant la censure qui blanchit les zones stratégiques (cela gâche l’érotisme des passages) et qui met une étoile dans les mots coquins (alors que cela ne sert à rien, surtout dans un hentaï, à moins que ce dernier détail ne soit d’origine ?). Ceux qui ne seront pas rebutés par cette censure seront ravis par ce titre, les autres moins.