L'histoire :
Après s’être défait de leur adversaire, Yaiba et ses amis continuent leur progression au sein de la pyramide en espérant rapidement atteindre le sommet pour empêcher le Japon d’être submergé. Ils esquivent un piège grâce à Emerald avant d’arriver dans une pièce circulaire d’où partent plusieurs chemins. Etant donné qu’Emerald ne connaît plus le trajet à partir de cet endroit, il ne leur reste qu’une seule solution : essayer tous les couloirs ! C’en est trop pour Sayaka et Gerozaemon qui ont vraiment trop mal aux pieds : ils décident donc d’attendre au milieu de la salle pendant que Yaiba et Emerald partent en éclaireurs. Ils empruntent donc un des chemins mais arrivent malheureusement dans un cul-de-sac. Lorsqu’ils reviennent dans la salle circulaire, ils retrouvent Sayaka et Gerozaemon en train de manger des champignons qui étaient à l’entrée d’un des couloirs. Yaiba, lui aussi affamé, en croque un bout lui aussi. A ce moment, un homme-champignon apparaît : c’est le gardien de la salle et Yaiba vient juste de tomber dans son piège...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Toujours dans la pyramide, Yaiba et ses amis continuent leur parcours jusqu’au sommet pour tenter d’arrêter le dispositif de submersion du Japon mais le garçon va devoir se méfier des ses propres amis. Le concept de la trahison n’est pas nouveau, certes, mais cela peut parfois amener un regain d’intérêt et de surprise bienvenu, ce qui n’est malheureusement pas le cas ici. Passe encore pour le coup des champignons, mais celui des robots qui veulent se venger des hommes est franchement mal amené et cela gâche son effet, d’autant que les titres des chapitres ont tendance à spoiler ce qui s’y passe. De plus, les graphismes souffrent toujours de ce côté vieillot et d’une trop grand ressemblance avec Dragon Ball (à un moment donné, on a même carrément l’impression que Yaiba se transforme en super saïyen !). Cela est dommage car l’ensemble reste correct quant à la mise en scène et au dynamisme. Hélas, la série est désormais trop avancée pour arriver à convaincre et il serait fort étonnant que les derniers volumes arrivent à pallier à ce problème.