L'histoire :
Pour Makoto, cela a été un véritable choc de découvrir à quel point Asahina connaît Ibuki. Asahina étant comédien, il fait régulièrement la une des magazines pour jeunes filles et ses admiratrices sont très nombreuses. Du coup, Makoto est jaloux et décide d’investir dans une télévision et un lecteur DVD : cela va lui couter une petite fortune mais il tient à voir les feuilletons dans lesquels joue Ibuki. Toutefois, une fois ces emplettes faites, il regrette immédiatement car il se met à imaginer Ibuki forcée à jouer dans des tenues indécentes. Un peu plus tard, il est en train de dormir quand une femme s’introduit dans son appartement et commence à lui faire une fellation. Juste après avoir éjaculé, Makoto réalise qu’il s’agit de Hasegawa. Il ne sait pas comment elle a fait pour rentrer chez lui mais ce qui l’inquiète le plus est l’ivresse de la jeune femme et les souvenirs du passé qui refont surface...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Si l’on regrettait que le précédent opus laisse beaucoup trop de côté l’histoire, celui-ci nous réconcilie avec la série en faisant avancer l’intrigue avec de grandes étapes et des révélations importantes. En ce qui concerne ces dernières, on apprend enfin qu’Ibuki a des sentiments pour Makoto (ce n’est pas une vraie surprise en soi mais bon) mais surtout ce que la directrice pense du professeur et ce que Hasegawa lui a fait subir par le passé. Du côté des avancées, Makoto continue ses fantasmes torrides mais passe également à l’action dans la réalité : il fait des recherches sur le travail d’actrice d’Ibuki, fait un cunnilingus à une jeune femme qui s’impose comme sa fiancée (ne dévoilons pas son nom pour ne pas gâcher la surprise) et couche avec une autre. Le jeune homme n’est donc plus uniquement passif et cela fait plaisir à voir, d’autant que l’alternance fantasme/réalité se confond parfois de manière amusante. On regrettera néanmoins certaines réactions improbables des personnages : bien qu’on ne cherche pas complètement la crédibilité dans un hentaï, on a tout de même parfois du mal à admettre certains dialogues qui ne sont pas du tout en adéquation avec les situations. Néanmoins, cela ne gâche pas trop le plaisir de la lecture. Du côté des dessins, on a toujours le droit à des planches où des demoiselles pulpeuses et juteuses se dévoilent pleinement et on remarque que la censure est moins disgracieuse : on peut ainsi pleinement jouir des scènes coquines ! Ce quatrième opus est donc plutôt réjouissant et nous fait désirer la suite ardemment !