L'histoire :
Mission : Nini doit faire signer un bulletin de notes catastrophiques à Bronsky, son père. Méthode : profiter d’un état euphorique du paternel pour qu’il passe les piteux résultats au second plan de son exaltation passagère. Exemples : faire croire à une méga-promotion ou à un héritage monstrueux. Résultat : complètement excité, Bronsky signe comme un furieux sur toute la page et plus rien n’est lisible. 4 autres sketchs au programme : Bronsky fait tout pour bénéficier de l’héritage de tante Peggy. Quelques mésaventures autour d’un couvercle de toilettes récalcitrant. Quelques dégâts auditifs dus aux décibels d’une rave-party. N’en déplaise aux enfants, Bronsky veut impérativement suivre son match de foot à la télé.
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
In-cre-di-ble ! (prononcez « beul » la dernière syllabe, pas « bleu », « beul ») Le dernier Edika est, pour la première fois à la surface de la planète, tout en couleurs ! Dingue ! Avec (tadam...) du rouge ! Mais aussi (tadam...) du bleu ! (prononcez bleu, cette fois). Et ce n’est pas fini, il y a aussi (je vous le donne en mille) (tadam aussi...) du jaune ! Bon, et puis il y a aussi toutes les dérivés, le vert, le violet, etc, on va éviter de les lister, sinon, on n’est pas couché. Même que ce n’est pas Edika qui les a faites, ces sympathiques couleurs, puisque c’est Patrice Larcenet. Le reste de l’album, par contre, est bien du 100% Edika, du vrai, du beau, du pur. Oui, madame. A part ça quoi de neuf ? Rien. On adore ou on déteste, comme toujours avec le style propre à Edika. Un dessin drôle et inégal, un scénario débile et inégal, le traintrain, quoi. Alors bien le bonjour chez vous ? C’est ça, j’lui dirai.