L'histoire :
Les personnages de jeux vidéo ne vivent pas dans un monde en paix. Pirate Sourcil et Nikoneda vous révèlent la vérité fausse de leurs vies. Bien entendu qu’une princesse peut gagner une course de moto. En effet, si l’on voit sa culotte ça aide les adversaires à rester en arrière. Mario n’arrive pas à renoncer à une étoile. Qu’il faille taper sous un carré, faire le tour de l’étoile noire ou tuer des petites choses, rien ne l’arrête. Il faut dire que son obsession concerne aussi d’autres personnes, telle la Princesse Peach. La mettre dans son lit reste un beau projet plein de fantasmes. Seulement voilà, il n’est pas le seul à occuper son cœur ou/et sa couche. Chut ! Cela reste notre secret. D’ailleurs, pourquoi elle s’appelle ainsi, la princesse Peach ? Normalement un grand mystère repose sur la réponse. Mais comme vous insistez : souvent, quand elle va déféquer, elle laisse dans le réceptacle de belles pêches. Qui a dit que cela devait être glamour ? La vie dans le virtuel ne résume-t-elle pas à amour, gloire, tuerie et beauté ?
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les éditions Jungle n'en sont pas à leur coup d’essai concernant les parodies. On trouve déjà au sein de leur catalogue : Bloody Harry, L’empire du rire, Freaky Mouse, Galère of thrones et La guerre du retour contre-attaque. Alors quoi de plus normal de rajouter à cette liste le monde des jeux vidéo. On retrouve ici les grandes figures du 8ème art, tels Mario Bross, Luigi, Zelda, Sonic, Bowser… Mais pour éviter trop de ressemblances avec des personnages existants et tout souci de copyright, ils s'appellent ici Zelga, les Poukimons... Toutes libertés sont ainsi prises pour proposer des blagues à l’humour des plus douteux et scabreux. Pirate Sourcil et Nikoneda n’hésitent pas à mélanger les univers de Star Wars, Zelda et les Pokemons par exemple. Aucun doute que les geeks fans de jeux et de films à gros budgets trouveront leur bonheur dans les clins d'yeux trashs, violents et parfois cruels. Le gag en une page va à l’essentiel, afin que le message passe vite. Ces plaisanteries s’adressent à un public averti, habitué à la dérision basique et sans autre prétention.
