L'histoire :
A l’Institut de Borcigny, la directrice sermonne le professeur de latin, Alexi. Pourtant, il a la surprise de ne pas être renvoyé. En effet, les filles sont toutes majeures et ont fait un véritable choix. De plus, elle n’a pas vraiment de remplaçant. Néanmoins, les filles seront sanctionnées pour leur comportement amoral et elle compte sur lui pour que tout ceci ne se reproduise plus jamais. Il en va de la réputation de l’école ! Que s’est-il passé au juste pour que l’on en arrive là ? C’était la veille, en fin de journée. Alexi est assez fatigué après une longue journée de cours. Le cours est terminé, mais les filles ne veulent pas partir. Elles semblent étranges et plusieurs se rapprochent de lui. Elles lui expliquent qu’elles pensent souvent à lui le soir, dans les dortoirs. Elles ont l’impression qu’il est moins en forme qu’avant et qu’il a besoin d’un petit stimulant. Gêné, il tente de garder son calme et son sérieux, mais il en faut plus pour que les filles se rétractent. Après tout, il a désormais une sacrée réputation depuis qu’il s’est « amusé » avec Jessica. Alexi, choqué, fait la morale à Jennifer : cela devait rester entre eux ! Mais il ne voit pas que dans le même temps, une autre fille se penche et défait son pantalon…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les aventures des pensionnaires de Bocigny continuent dans ce troisième tome. Et plus Max Sulfur avance, plus les scènes de sexe s’enchaînent. C’est bien simple : on ne s’arrête jamais dans ce volume, à l’image du professeur Alexi qui fait des heures sup (slurp même) avec de belles étudiantes toute la nuit. Mais ce n’est pas tout : les psychologues s’y mettent. Et même l’infirmière, qui doit redonner de la vigueur aux pauvres petits vagins fatigués de ces demoiselles. On ne sait pas comment Sulfur a vécu sa scolarité, mais là, on dépasse même les fantasmes stéréotypés de l’élève et du maître pour de véritables orgies de foutre dégoulinant et de poitrines énormes. On ne fait pas dans la dentelle. Et de toute façon, la dentelle disparaît très vite pour un festival torride de corps entrelacés aux positions toujours plus spectaculaires. Le scénario ne brille certes pas par son originalité. Seuls quelques petits jeux de mots sur l’école viennent relever le niveau… bien en-dessous de la ceinture ! Néanmoins, Sulfur a l’art de peindre des scènes sulfureuses et puissamment érotiques grâce à un dessin ultra léché. Quel régal pour les yeux (et peut être même plus si vous l’osez). Il sera difficile de ne pas succomber à cette tempête de désirs.
