L'histoire :
Nadine a décidément une très grosse journée bien chargée au travail. D’abord, il faut faire l’audit comptabilité avec ce vieux pervers qui n’aime qu’une chose : qu’on s’occupe de ses bourses ! Puis le directeur l’a convoquée pour un business plan qui ne manque pas de piquant. Et à deux, ils sont allés au fond des choses. Elle avait ensuite rendez-vous avec Mme Muller qui avait besoin d’aide pour apprendre le bon fonctionnement de la boîte à la jeune stagiaire Léna. Elle s’est d’ailleurs pliée à toutes les exigences, même les plus intimes, pour obéir à sa maîtresse. Madame Elias a aussi voulu un entretien très privé avec elle, puis ce fut le tour de monsieur Tobias qui a appliqué un sondage très personnel. Nadine a enfin dû aller au service marketing, ce qui l’a placée dans une position embarrassante… Cependant, madame Martini ne semble pas satisfaite de ces explications. Si Nadine veut rester à Sogatex, il va falloir qu’elle montre tout son talent à la superviseuse. Il ne faudra pas hésiter à se mettre à nue et à tout donner pour son emploi…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La série ultra chaude Kiff continue avec un tome 2 aussi hot et charnel que le premier. On y retrouve d’autres femmes (même si certaines comme Jessica refont leur apparition) aux mœurs totalement libérées. Max Sulfur aime particulièrement jouer sur deux mondes : celui du travail et du sexe. La première saynète joue habilement sur le « mélange » des deux. Encore dans le domaine de l’emploi avec la deuxième histoire où un jeune stagiaire doit donner de sa personne pour être recruté par des employées qui ont des méthodes bien à elles pour tester les nouveaux arrivants. Puis c’est l’histoire d’un immeuble où les histoires de voisinage se terminent très souvent par la lettre X. Du classique où tout est prétexte à des scènes ultra chaudes. Mais Sulfur a l’art de trouver des jeux de mots qui font mouche et qui optent pour un euphémisme excitant, tandis que les dessins sont particulièrement explicites. Les femmes sont sublimes et assurément trop à l’état de faire-valoir masculin, mais le visuel reste malgré tout tentateur au possible. Si vous avez kiffé le premier tome, vous prendrez votre pied sur le deuxième.
