L'histoire :
Trahison Palpatine est tout proche d'éradiquer la Rébellion grâce à Tarkin, qui construit une nouvelle arme surpuissante : l'étoile noire ! Il confie une nouvelle mission à Dark Vador : localiser et éliminer un inconnu qui aurait un sabre laser. Pendant ce temps, des officiers de l'Empire ourdissent un complot pour renverser le Régime et enlever le pouvoir aux seigneurs Siths.
Le 9ème assassin Tout a commencé au moment où Dark Vador est venu négocier (ou plutôt imposer) un nouveau contrat sur les opérations minières. Le riche propriétaire ne lui en veut pas pour cette parodie commerciale. Il hait le chevalier noir parce qu'il a tué son fils. Malgré sa sinistre réputation, il rend visite au plus dangereux des assassins, qui devra réaliser l'impossible : tuer Dark Vador !
Résurrection Dark Vador et quelques soldats de l'Empire arrivent sur une planète désolée. Ils ont capté le signal d'une trace rebelle. L'Empereur recherche toujours les plans de l’Étoile noire et son apprenti doit donc enquêter la
à-bas pour essayer de retrouver ce qui ferait gagner l'Empire. Pourtant, l'expédition se heurte à de mystérieux inconnus qui massacrent les soldats avec des sabres laser rouges. Ce sont en fait des Seigneurs Sith qui ont tendu un piège à Dark Vador.
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
L'intégrale tome deux consacrée à Dark Vador réunit trois récits initialement publiés dans Star Wars le côté obscur. Le choix éditorial est plutôt malin puisque des histoires consacrées au sombre seigneur Sith, il en existe autant que les machinations de l'Empereur Palpatine. Ces trois récits sont assez bien choisis et de bonne qualité, jouant sur les innombrables trahisons et coups tordus de l'Empire, tout cela étant bien entendu orchestré secrètement par l'Empereur. Dark Vador est à chaque fois mis à l'épreuve et doit souvent utiliser sa ruse ou sa puissance incroyable au combat pour se sortir de bien mauvais pas. L'ensemble est donc d'une cohérence à toute épreuve et c'est un réel bonheur pour tous les nombreux fans de l'âme damnée de l'Empire. Il faut dire que chaque saynète montre son âme noire, qui fascine tout autant qu'elle fait frémir. Il fallait bien des artistes qui ne se ratent pas pour représenter la silhouette sinistre et imposante de Vador et son casque à la fois énigmatique et plein d'expressivité ténébreuse. Le rendu graphique est là aussi plutôt bon et particulièrement marquant sur l'histoire du Neuvième assassin. La prestation de Stephen Thompson est à couper le souffle de façon encore plus radicale qu'un geste de la main de Dark Vador mais c'est tellement impressionnant que les autres artistes semblent bien inférieurs. On ne boudera pas son plaisir malgré tout de lire ou relire les aventures noires du méchant le plus inoubliable de la galaxie.