L'histoire :
Ce numéro contient :
- Thor God of thunder (épisodes 12 et 13) : Après un long exil à l'issue duquel il est parvenu à éliminer le tueur de Dieux, Thor revient sur Midgard et y retrouve les plaisirs qui lui ont si longtemps manqué. En marge de tout cela, Malekith s'est échappé de sa prison...
- Captain America (vol.7) (épisode 12) : Depuis qu'il est revenu de la dimension Z, Steve a du mal à trouver sa place. Il doit protéger Jet et l'aider à s'adapter à notre monde tandis qu'il panse son cœur de la perte de Sharon. Heureusement, son ami, le Faucon, est là pour l'aider.
- Indestructible Hulk (épisode 13) : Hulk fait tout pour rétablir les problèmes spatio-temporels.
- Fearless Defenders (épisode 10) : Sur Terre, des Inhumains apparaissent et les forces de Thanos envahissent la planète...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce numéro d'Avengers Universe réjouira en partie les fans du Marvelverse. Il faut dire que la revue s'ouvre sur deux épisodes d'excellente facture de Thor God of Thunder. Jason Aaron intègre tout ce que l'on aime dans les aventures du Dieu du tonnerre avec un personnage plus iconique que jamais, mais aussi le retour du terrifiant Malekith. Si l'on regrette le départ d'Esad Ribic, nous ne pouvons par contre que nous réjouir de voir successivement Nic Klein puis Ron Garney prendre le relais. Leur style reste dans la veine de celui de leur prédécesseur et la colorisation d'Ive Svorcina y est aussi pour quelque chose. Maintenant que Cap' est revenu de la dimension Z, il semble meurtri. C'est ce que nous montrent Rick Remender et Carlos Pacheco (encré par Klaus Janson) dans un chapitre introductif mystérieux et prometteur. Jusqu'ici la revue fait office d'indispensable absolu mais les deux épisodes qui suivent viennent pondérer ce bilan si parfait. Le Hulk de Mark Waid est poussif et ennuyeux et les Fearless Defenders n'ont toujours pas trouvé leur utilité. En résumé, vivement que les deux dernières séries s'arrêtent ou changent leur équipe artistique car elles font plus office de cailloux dans la chaussure que de véritable bonus pour cette revue.