L'histoire :
Ce numéro contient :
- Generations: The Unworthy Thor & The Mighty Thor : Il y a longtemps, alors que Thor n'est pas encore capable de se servir de Mjollnir, il se rend sur Midgard, suite à l'appel des Vikings sur un champ de bataille, en Egypte. Là-bas, il affronte Apocalypse et ses serviteurs quand, soudain, Jane Foster alias Thor apparaît...
- Generations: Phoenix & Jean Grey : Sans comprendre ce qui se passe, Jean se trouve dans un lieu inconnu. S'approchant d'une plage, elle remarque une personne profitant du soleil, une femme qui n'est autre qu'elle-même....
- Generations: Generations: Banner Hulk & The Totally Awesome Hulk : Amadeus Cho débarque au milieu de nul part et remarque très vite la présence d'un autre Hulk qui se bat contre des forces armées. Il s'agit de Bruce Banner...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le crossover Secret Empire souffle sur toutes les revues estampillées Marvel. Pour autant, alors que les figures iconiques souffrent énormément du fait de décisions scénaristiques ou éditoriales plus ou moins contestables ou controversées, la Maison aux idées a décidé de titiller la fibre nostalgique des lecteurs en faisant se croiser avec Marvel Generations différentes incarnations d'un même héros. C'est ainsi qu'au sommaire de ce premier numéro, Odinson va réaliser une aventure au côté de Thor (Jane Foster), Bruce Banner d'Amadeus Cho et Jean Grey jeune de sa version adulte. Le but est de satisfaire les fans et sans surprendre, le résultat est très irrégulier. Ce premier numéro s'ouvre sur le récit mettant en scène les Dieux du tonnerre. Jason Aaron est à la manœuvre et rend une copie très correcte, joliment dessiné par Mahmud Asrar. Assez drôle et mettant en scène Apocalypse en guest-star, ce début convint. Cela est ensuite moins le cas avec les deux version du Phoenix. Cullenn Bunn et RB Silva ne nous emballent pas vraiment et ne nous surprennent pas plus. Très moyen, cet épisode est suivi par un autre qui n'est pas meilleur non plus avec deux colosses de Jade. Greg Pak fait le minimum syndical et Matteo Buffagni ne nous éclate pas les rétines non plus. Pas désagréable mais tellement dispensable pour l'instant, ce premier numéro de Marvel Generations tente des choses sans convaincre et sans trop d'ambition non plus. Moyen donc...