L'histoire :
A la mort du docteur Gero, le super-ordinateur caché dans le sous-sol de son laboratoire avait continué de fonctionner pour produire de nouveaux cyborgs encore plus perfectionnés, toujours dans l’unique but de tuer Goku... Ce dernier est en ville en famille, en train de porter les paquets de Chichi qui fait des emplettes. Pendant ce temps, Krilin, Trunks, Kamé Sennin et Oolong sont partis attendre le début du concours mondial de miss Canon, mais il n’y a personne d’autre dans la queue. Après qu’ils se sont rendus compte qu’ils se sont trompés de jour, ils retrouvent Goku, Chichi et Gohan au restaurant. En plein milieu du repas, l’immeuble où ils se trouvent se met à trembler. Soudain, deux créatures font leur apparition et tirent dans le tas. Goku ne les avait pas senties arriver, et il comprend donc rapidement qu’il a affaire à des cyborgs. Pour éviter de ravager la ville en combattant, Goku et Trunks attirent leurs assaillants jusque dans les glaciers du grand nord, bientôt rejoints par Gohan et Krilin. En plein combat, un troisième cyborg encore plus puissant va faire son apparition...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Si les scénarios des tomes précédents vous paraissaient trop poussés, rassurez-vous, celui-ci réussit l’exploit de faire encore plus simpliste. Voyez plutôt : après la mort du docteur Gero, son ordinateur a continué à travailler seul dans son coin pour produire de nouveaux cyborgs, ces derniers ayant toujours pour unique objectif de tuer Goku. Trois nouveaux cyborgs font donc leur apparition, suite à quoi on assiste à une série de combats qui s’enchaînent jusqu’à la fin du tome. La seule originalité de cet opus est de proposer un final différent de d’habitude, ce qui est d’autant plus surprenant qu’on a l’impression que cela va être tout le contraire jusqu’au dernier moment. Les combats en eux-mêmes ne sont pas palpitants et ne rendent pas vraiment bien, et ne parlons même pas des méchants qui ne sont pas charismatiques. Dommage, vu que les affrontements sont censés être le seul intérêt de ce film... En bref, voilà donc un opus tout à fait dispensable.