L'histoire :
Pour faire plaisir au fils de 10 ans de l’homme le plus riche du monde, un nouveau tournoi mondial est organisé, bien plus grand que le Tenkaichi Budokai. Ouvert à tous sans aucune distinction, celui-ci se déroulera en plusieurs phases : les éliminatoires répartis en huit poules sous forme battle royale, puis des demi-finales opposant les vainqueurs deux par deux, et enfin les quatre restant affronteront les disciples de Mister Satan pour déterminer qui se battra en finale contre le grand champion. Gohan, Krilin, Piccolo, Trunks adulte, Yamcha et Ten Shin Han participent. Mais les demi-finales n’auront finalement pas lieu contre les disciples de Mister Satan : un groupe de quatre mercenaires de l’espace débarque sur Terre. Bojack, leur redoutable chef avait été scellé au fin fond de la galaxie par maître Kaïo et ses confrères il y a longtemps, mais le sceau de Kaïo a été détruit lorsque ce dernier est mort pendant l’affrontement contre Cell. Aujourd’hui, Bojack est de retour et il est bien décidé à s’emparer de la plus belle planète de la galaxie Nord, la Terre...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Enfin, un peu de nouveauté dans ce neuvième volet des aventures cinématographiques de la bande de DBZ. Pour commencer, même si tout démarre avec un énième tournoi, celui-ci change de d’habitude dans son déroulement et dans la forme des épreuves. L’affrontement contre les réels ennemis de l’histoire possède également un déroulement inhabituel, et se termine d’ailleurs en mode mêlée. Evidemment, cela n’a pas que des avantages : le tournoi en lui-même dure la moitié du volume alors qu’il n’y a là rien de palpitant (on sait déjà plus ou moins qui remportera les éliminatoires), et la mêlée entre les bons et les méchants est parfois un peu trop dense, en tout cas dans cette version papier. Si le scénario tient quant à lui en une ligne et ne possède ni subtilité ni moult rebondissements inattendus, on passe malgré tout un bon moment lors de la lecture. Graphiquement, on sent que le film est déjà plus récent que ses prédécesseurs. Les décors sont nombreux et travaillés, tout comme les effets de lumières des attaques énergétiques. Les captures d’écran sont bien nettes même s’il y a parfois un peu de grain, les couleurs sont bien gérées, le découpage peu varié mais avec un minimum de travail tout de même... En résumé, voilà un volet plus convainquant que ses prédécesseurs.