L'histoire :
La nuit de la mort de Norbert Haraque, son frère Nestor a été retrouvé complètement ivre sur les lieux et avec un briquet sur lui, probablement celui ayant servi à déclencher l’incendie. Il est donc tout naturellement inculpé de meurtre et son confident, le professeur, vient supplier Phoenix Wright de le défendre car il est persuadé de l’innocence de Nestor. Malheureusement, ce dernier est incapable de donner sa version des faits car l’incendie a tué son frère mais aussi toutes ses araignées, ce qui l’a plongé en état de choc. Cela s’annonce comme une affaire difficile pour Phoenix Wright, d’autant plus que le procureur n’est autre que Benjamin Hunter, son ami d’enfance et surtout son plus grand et talentueux rival...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La première moitié de ce volume se consacre au procès de l’affaire de la maison-araignées entamée dans le volet précédent. En plus d’un procès mené avec énergie, l’histoire nous permet de retrouver Benjamin Hunter, le procureur ami d ‘enfance de Phoenix Wright qui est également son plus grand rival. Les deux hommes font preuve de tant de motivation et de passion dans leur débat qu’on est suspendu à leurs plaidoiries. La deuxième moitié se consacre à une nouvelle affaire opposant Phoenix à Benjamin : un des employés d’un parc d’attractions s’est fait tuer dans son déguisement de mascotte. Là aussi, les argumentaires sont convaincants mais on retiendra surtout l’humour qui s’en dégage. Dans les deux cas, on prend plaisir à suivre le procès mais on regrettera que les coupables soient faciles à deviner, pour peu qu’on ait l’habitude de suivre des séries policières. Néanmoins, on passe un agréable moment et on a hâte de suivre les prochains procès de Phoenix Wright.