L'histoire :
Hasegawa met la pression à Suzu et son assistant Taihei : il reviendra le lendemain pour vérifier l’état d’avancement des planches et ne veux voir personne dormir. Le duo se met rapidement à la tâche dans une ambiance sérieuse. Au bout d’un moment, Taihei se lève pour aller aux toilettes. Quand il revient, Suzu a disparu ! Il la cherche partout dans le bureau, en vain, et appelle Hasegawa au secours. Les deux hommes parcourent toute la maison d’édition pour rien. Suzu finit par réapparaître avec des produits d’un groupe de rock : la demoiselle s’est visiblement éclipsée pour se rendre à un concert. Hasegawa est furieux, d’autant plus qu’il découvre que Suzu passe son temps sur les réseaux sociaux au lieu de bosser...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Suzu continue de glander, s’amuser et rêver au lieu de travailler, déclenchant ainsi la colère de Hasegawa. On pourrait craindre que la situation ne reste figée mais ce n’est pas le cas : tous les personnages dévoilent leurs sentiments et tentent de s’en servir pour parvenir à leur fin. Néanmoins, la conclusion de l’histoire en elle-même manque un peu d’impact et ressemble plus à une fin de chapitre que de série. Le scénario préfère en effet se concentrer sur les gags plutôt que sur l’intrigue. De ce côté-là, rien à redire : les personnages ont des caractères complètement barrés qui font dégénérer la situation, les délires de Suzu sont amusants et les épisodes bonus sont complètement « WTF ». Pour ce qui est de la rigolade, on s’en paye une bonne tranche, c’est certain, mais on aurait aimé que l’histoire marque un peu plus fermement sa conclusion. Cela laisse un petit goût de déception en bouche, c’est un peu triste.