L'histoire :
Le père de Kôshi a fait reconstruire la demeure familiale en prenant exemple sur l’architecture japonaise traditionnelle. Kôshi tente alors de lui expliquer qu’il y a des règles d’urbanisme à respecter mais son paternel refuse de l’écouter et le bâillonne pour lui faire la visite de la maison en compagnie de sa fiancée. Contrairement à l’extérieur, l’intérieur est à la pointe de la modernité et flambant neuf : Momoko est ravie, surtout lorsqu’elle voit la chambre prévue pour elle et son fiancé. Néanmoins, Kôshi se rend compte qu’il y a tout de même un coin normal : son père lui a laissé son bureau pour qu’il puisse étudier afin de devenir procureur. Une fois la visite terminée, l’entraînement de Kôshi peut enfin commencer. Malheureusement, le jeune homme ne comprend rien aux histoires d’énergie et se fait constamment rétamer. Au bout d’un moment, Kôshi finit par se disputer avec son père au point de lui dire qu’il aurait préféré ne pas être le fils d’un martialiste. Sans un mot, son père s’en va, sous les yeux d’une Momoko terrifiée…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce huitième volume ne fait pas vraiment avancer les choses et se concentre surtout sur les introspections des personnages : Kôshi décide de s’entraîner sérieusement, Hiruna se rend compte qu’elle doit faire des efforts considérables pour reconstruire son clan, et l’héritier du clan du singe fait son apparition. Malheureusement, cette dernière partie reste pour l’instant sans grande conséquence et, malgré le terrible plan du garçon, il va falloir attendre la suite pour que cela décolle un peu. Heureusement, l’humour est toujours de la partie et l’entraînement de Kôshi est un très bon moment de rigolade. Par ailleurs, malgré une baisse du fan-service, les graphismes sont toujours aussi efficaces et contribuent à renforcer les effets comiques (notamment ici pendant un cours d’éducation sexuelle très amusant). Bref, l’histoire observe une petite baisse de régime mais on ne doute pas que la suite saura y remédier.