L'histoire :
Hibino se réveille à l’infirmerie du lycée avec sa mère à son chevet. Comme elle était arrivée tôt pour les examens, la demoiselle pense qu’elle a encore le temps de s’y rendre et prouver à sa mère qu’elle peut avoir de bonnes notes. Hélas, les épreuves ont déjà commencé et Hibino ne tient même pas sur ses jambes ! Sa mère est donc d’autant plus convaincue que sa relation avec Tsubaki est une mauvaise chose qui a conduit sa fille au surmenage. Elle décide donc de lui faire arrêter les cours pendant quelques jours afin qu’elle se repose. Quatre jours plus tard, Tsubaki s’inquiète car il est sans nouvelles de Hibino. A sa grande surprise, c’est la mère de la jeune fille qui lui rend visite pour lui expliquer la situation et lui demander une faveur...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Hibino n’a pas fini de pleurer dans ce 13ème volume car sa relation avec Tsubaki continue de rencontrer des obstacles. Dans un premier temps, c’est la mère de la demoiselle qui fait barrage car elle ne supporte pas de voir le niveau de sa fille baisser dans les études et cette dernière se surmener à cause d’un garçon. Malheureusement, au lieu de trouver Hibino attachante de par les efforts qu’elle fournit, on se retrouve à être d’accord avec sa mère : son entêtement insensé et sa façon de ne vivre que par Tsubaki ne sont pas des modèles à suivre. Si le propos de l’auteur était de nous rendre la jeune fille sympathique, l’effet est donc tout à fait raté. Puis, le couple décide de mettre un peu de distance pour que Hibino se repose et pense à son avenir. Là, un nouveau personnage secondaire fait son apparition et commence à donner à la jeune fille une idée de ce qu’elle veut faire plus tard. Là encore on est déçu car les rebondissements sont un peu trop difficiles à avaler et les personnages n’ont pas de répartie ni de comportement crédibles. Enfin, avant même que cela ne soit réglé, un autre problème fait surface comme si, à l’approche de la fin de la série, l’auteur voulait balancer tous les ennuis possibles. Globalement, il y a des avancées mais on n’est toujours plus dépité que convaincu. Dommage.