L'histoire :
Sakura et Kurimiya sont ravis pour leur amie quand Aya remporte l’élection de Miss Campus. Cette dernière les rejoint dans le public pour partager ce bonheur mais l’homme qui a recruté la belle pour le concours arrive à ce moment. En fait, lui et Aya doivent faire un discours à 17h pour la cérémonie de clôture et il aimerait travailler dessus avec la demoiselle. Aya laisse donc Sakura et Kurimiya seuls et les deux jeunes gens décident d’en profiter pour aller dîner. Kurimiya demande donc à Sakura ce qu’il n’a pas mangé depuis longtemps. Un peu gêné, Sakura réponds que cela fait un moment qu’il n’a pas dégusté un petit plat fait maison et, à sa grande surprise, la jeune femme accepte donc de lui faire elle-même à manger. Ils vont ensuite faire les courses avant d’aller chez la jeune femme pour dîner. Sakura est aux anges et ne résiste plus : il fait sa déclaration à Kurimiya avant de lui faire l’amour...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Axé sur le dilemme de Sakura, le volume précédent ne faisait pas avancer grand-chose, aussi ce dernier volet rattrape-t-il les choses dès le premier chapitre puisque le jeune homme fait enfin sa déclaration à Kurimiya tandis qu’Aya se trouve une carrière professionnelle de pin-up. Si on n’est pas surpris de l’évolution de la relation entre Sakura et Kurimiya, on apprécie de les savoir ensemble car ils sont bien mieux assortis. De plus, les scènes de sexe sont relativement réalistes dans les positions ou dans la manière de faire (notamment lorsque la jeune femme fait sa première fellation de manière maladroite) et cela fait plaisir à voir. Quant à Aya, on aurait pu craindre le pire avec l’agence de mannequin, mais on est agréablement surpris de voir qu’il n’y a aucun piège graveleux : au contraire, on prend soin d’elle et on la met même en garde contre la faible longévité de son travail. Du coup, on a le droit à un récit simple mais assez réel et bien évidemment fortement agrémenté de sexe, pour un résultat très sympathique. On est cependant déçu de voir quelques fautes d’orthographe : certes, les dialogues ne sont pas le plus important dans un hentaï mais ce n’est pas une raison pour les négliger à ce point. Pour ce qui est des graphismes, on a le droit à des jeunes femmes pulpeuses à souhait, des scènes coquines hot et humides, des personnages expressifs et des décors plutôt bien représentés. En tout cas, cette petite trilogie est très agréable et vaut le détour pour les amateurs du genre.