L'histoire :
Sakura, un étudiant en 3ème année de chimie, est dans les couloirs de l’université quand un coup de vent fait voler les feuilles qu’il avait dans les mains et qui atterrissent dans un arbre. Sakura va alors les chercher mais les branches sont trop hautes. Heureusement, une belle jeune femme du nom de Kurimiya parvient à les récupérer pour lui. Pour la remercier, Sakura l’invite à boire un verre et le courant passe bien entre eux. Le soir, ils ne font pas attention et s’endorment dans le train. Lorsque le contrôleur les réveille, ils sont arrivés au terminus et il n’y a plus ni train ni taxi pour rentrer. Ils décident donc de se rendre dans un hôtel où ils se confient l’un à l’autre leurs soucis avant de faire l’amour. Le lendemain, aucun d’eux n’ose aborder le sujet et ils pensent se revoir à la fac. Deux jours plus tard, Sakura rencontre Aya, une élève en deuxième année de commerce à qui il avait réparé une chaussure quelques jours plus tôt. Cette dernière est très entreprenante : elle l’invite chez lui et, au bout de quelques verres, lui demande de sortir avec elle avant de lui faire l’amour. Sakura n’ose pas refuser mais va être bien embêté en réalisant que Kurimiya et Aya sont amies...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Comme l’indique si bien le titre de cette trilogie, Entre deux nous raconte l’histoire de Sakura, un étudiant en chimie, qui se retrouve partagé entre deux demoiselles : d’un côté la belle et timide Kurimiya avec qui il a passé une seule nuit d’amour et, de l’autre, la délurée Aya qui est très entreprenante et dont il se retrouve devenir le petit ami. Bien entendu, les deux jeunes femmes se connaissent et le pauvre Sakura ne sait plus où donner de la tête (et pas que de la tête...). Côté scénario, on est dans ce qu’il y a de plus classique mais on est tout de même pris par la lecture qui présente des passages légers, tendres et régulièrement très hot. C’est souvent Aya que l’on retrouve en train de se faire prendre (Kurimiya n’a le droit qu’à une seule vraie scène, le reste étant du fantasme ou du flash-back) et, si ces moments-là sont très torrides, on déplore comme souvent la censure qui gâche les cases, ainsi que quelques poses parfois maladroites. Néanmoins, pour ceux qui veulent se rincer l’œil, il y a de quoi faire car le sexe ne manque pas et les demoiselles sont très mamelues. Le reste des graphismes est lui aussi correct, alliant un trait dynamique à des planches fournies. Bref, une première partie qui remplit son contrat ainsi que ces demoiselles !
