L'histoire :
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le gros défaut du premier volume était d’être trop monotone ; celui-ci ne refait pas la même erreur et nous propose des filles et des situations un peu plus variées : une américaine aux seins encore plus gros que ceux de Kozue et compagnie (si, si, c’est possible : ils sont plus gros que sa tête !), du bondage, des soubrettes, le retour de la chasseuse de puceaux, une jeune musicienne inexpérimentée avec les hommes mais qui s’y connaît en flûte... Comme pour le tome précédent, les situations sont la plupart du temps peu crédibles et le scénario est ainsi construit sur des passages indépendants, sans qu’il n’y ait vraiment un fil rouge global, mais bon, ce n’est pas vraiment ce qui intéressera le plus les lecteurs de ce titre. Pour ce qui est du reste, les dialogues sont toujours aussi inspirés (« j’ai honte, méprisez-moi ! », « mes tétons jouissent ! »), et les graphismes ont globalement les mêmes qualités et les mêmes défauts : un trait net et agréable, des visages expressifs pour ces demoiselles en action, un découpage et des cadrages lisibles (ce qui n’est pas toujours le cas dans le hentaï, aux planches souvent surchargées), un tramage correct, mais des planches vite réalisées et peu fournies dans les scènes « classiques » (sans sexe quoi...), des seins parfois assez mal réalisés (trop gros, mal posés, mal rendus, positionnement impossible), des litres surréalistes de liquide, des onomatopées qui gâchent la vue... Au final, un hentaï correct, léger et amusant, qui ne révolutionne vraiment pas le genre mais qui plaira sans nul doute au public visé.