L'histoire :
En arrivant dans la salle du club des cyber believers, Rio et Azumi ont une très mauvaise surprise. En effet, Leiko a laissé une lettre de démission du club dans laquelle elle ne donne pas de raison, si ce n’est d’interroger Azumi. Elle leur explique aussi que Joe et Natori sont en fait une seule et même personne, ce qui créé la surprise générale. Pourtant, celui-ci ne voit pas vraiment ce qu’il a pu faire de mal : il se rappelle juste que la demoiselle est fâchée depuis la veille, lorsqu’elle l’a surpris à moitié nu avec Makise. Pendant ce temps-là, Leiko s’est isolée dans le parc de l’école et reste pensive : elle se demande si Azumi est réellement un coureur de jupons, tout en s’étonnant de se mettre autant en colère. Quant à Natori, le jeune homme est inquiet : le père de Leiko ne donne plus signe mais cela ne veut pas dire que le plan de ce dernier n’est pas en marche. En discutant avec les autres membres du conseil, Natori a une idée de génie : intégrer Leiko au conseil…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le volume précédent relevait le niveau de ses prédécesseurs et, fort heureusement, ce tome continue sur cette lancée. La lutte entre le conseil de discipline et le club des cyber believers revient sur le devant de la scène : s’accompagnant de manipulations et de plans plus ou moins machiavéliques, les rebondissements ne sont pas aussi prévisibles qu’on pourrait le croire (surtout en ce qui concerne Natori). Ainsi, l’intrigue s’avère un peu plus consistante et le rythme du récit rend la lecture agréable. Quant aux personnages, tous font le bilan sur leurs sentiments et Leiko se montre plus dynamique et autonome qu’à l’accoutumée. Le scénario s’est amélioré mais les graphismes conservent le même niveau, moyen, la qualité du tramage laissant toujours à désirer. Sans être extraordinaire, cette série est au final plutôt sympathique mais reste tout de même réservée aux amateurs de shôjo pas trop exigeants sur la qualité.