L'histoire :
Au laboratoire de l’université, Shihori est stupéfaite en apprenant que Madoka a démissionné alors que leurs recherches avaient le même but. C’est donc contrariée qu’elle rentre à l‘appartement et, en voyant les chaussures de Yuka dans l’entrée, s’énerve à l’idée que celle-ci et son frère soient encore en train de faire l’amour. Pourtant, ce n’est pas le cas : comme ils ont été renvoyés des cours pour une semaine, ils étudient pour ne pas avoir de retard. De manière contradictoire, Shihori refuse également qu’ils soient si sages : elle a besoin de trois échantillons de sperme par jour et les tourtereaux vont donc devoir se plier à ce rythme pendant les sept journées à venir. Makoto refuse d’imposer cela à Yuka mais celle-ci est prête à tout pour l’aider. Cependant, elle y met une condition : Shihori va devoir participer...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le deuxième volume s’étant montré décevant, on pouvait craindre qu’il en soit de même pour celui-ci mais ce n’est heureusement pas le cas. Déjà, l’histoire avance réellement et, même si la conclusion est un peu hâtive dans les derniers instants, les chapitres ne se contentent pas de nous montrer des passages torrides : le scénario revient sur le devant de la scène et le tout est de fait plus consistant. L’humour est également de la partie car les situations sont parfois risibles mais cela semble assumé et fait donc sourire. De plus, les scènes de sexe varient un peu : il y a plusieurs parties à trois, les positions changent de l’ordinaire et les lieux sont diversifiés. La censure gâche parfois la lisibilité mais, globalement, les passages nous en montrent beaucoup et sont très très chauds : le but principal étant de faire éjaculer Makoto, le sperme coule évidement à flot et les jeunes femmes en redemandent. Le fait que Shihori participe est parfois gênant (rappelons que c’est la sœur du jeune homme) mais le reste permet largement de se rincer l’œil. Egalement, les cadrages font preuve d’originalité et le tramage est varié, et on apprécie que ces demoiselles aient des grosses poitrines qui restent pourtant plutôt réalistes. Au final, ce troisième opus est donc très sympathique et devraient plaire aux lecteurs coquins.