L'histoire :
Il existe quelques lieux comme le port où résident les exilés des terres arides. Les bateaux de pêche et de commerce viennent régulièrement s'y approvisionner, l'occasion pour les employés de profiter de plaisirs comme l'alcool, les jeux et les femmes. Luca, lui, reste à bord car il a trop de dettes pour pouvoir sortir et il préfère économiser son argent. A quai, Yûri se fait « interroger » par la -maitresse Kujo. Celle-ci tient à s'assurer qu'il n'est pas un communiste et de la nature de ses rapports avec Luca...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Kujo cherche à chasser d'éventuels communistes. Néanmoins, cet aspect politique est rapidement mis de côté pour refaire surface dans la deuxième partie de la série. En attendant, le récit meuble avec un jeune homme naïf qui arrive et découvre les conditions inhumaines dans lesquelles vivent les ouvriers. Ce n'est pas intéressant, loin de là, mais on devine rapidement quel sort attend ce personnage et les nombreuses scènes de racolage qui ont lieu sont assez répétitives. Du coup, malgré une ambiance bien oppressante, on ressent une pointe d'ennui. On ne peut qu'espérer que la suite saura se montrer plus consistante.