L'histoire :
Pandhrravan poursuit son initiation au combat et essaie auprès de Moon, qui est devenu son ami, de s'exercer à la magie. Le petit singe souhaite lui enseigner une capacité qui pourrait l'aider lors d'un combat : invoquer son ami. Suite à de nombreux efforts, le pandawa y parvient. Peu de temps après, il reçoit un message : ses amis, Leopardo et Ecaron, sont en danger. Sans plus attendre, Pandrahvan reprend la mer et se rend sur Amakna. Une fois à terre, il se rend dans un village et se renseigne. Mais l'accueil est glacial… Heureusement, l’un des villageois, probablement l'ancien du village, lui indique où devraient se trouver ses amis. Pandhravan arrive alors dans une sorte de cimetière. Il pénètre à l'intérieur d'un caveau et se fait aussitôt attaquer par un vampire, qu'il repousse rapidement. Le problème est qu'il en débarque plein d'autres… le pandawa se voit alors contraint d'utiliser l'invocation qu'il a appris…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
L'univers de Dofus est gigantesque, presque sans limite ! Outre la série au format manga, l'exploitation du monde d'Amakna a su montrer ses plus beaux atours grâce à Bertrand Hottin, qui dévoile via Pandala des décors envoûtants. Avec ce troisième et (normalement) dernier tome, l'auteur nous narre l’ultime entraînement et combat de Pandhravan, son héros. Le premier tome avait dévoilé sa jeunesse, le second se concentrait sur son entraînement… Cette aventure se situe donc dans la pure continuité, à ceci près qu'il se révèle beaucoup moins linéaire. Parfaitement rythmé, le récit n’est jamais ennuyeux. C’est d'autant plus remarquable que ça se déroule toujours sans le moindre phylactère (bulle de texte). Visuellement, le trait de l'auteur retrouve de sa superbe après un second volet un peu en deça. Ses décors réalisés à la gouache sont toujours aussi réussis. Avec une qualité revue à la hausse, Pandala se conclue donc de belle façon. Une belle invitation à découvrir les splendides paysages d'Amakna. Les fans de Dofus seront aux anges.